La coutume en effet les condamne à ces peines : Sans murmurer contr’elle, il faut baisser les bras : C’est agir, travailler que de porter ces chaînes ; Et l’on est fainéant, si l’on ne le fait pas.
Si je… Mais il s’agit de calmer les flots : un pareil attentat ne demeurera pas une autre fois impuni. » On voit un autre exemple de cette figure dans la tragédie d’Athalie, lorsque cette Princesse demandant à Joad le jeune Éliacin, et les trésors qu’elle croit cachés dans le Temple, lui dit : Je devrais sur l’autel où ta main sacrifie, Te… mais du prix qu’on m’offre il faut me contenter.
Rappelons ici quelques lignes de Condorcet : « M. de Buffon, dit-il, est poëte dans ses descriptions ; mais, comme les grands poëtes, il sait rendre intéressante la peinture des objets physiques en y mélant avec art des idées morales qui agissent sur l’âme, en même temps que l’imagination est amusée ou étonnée. » 2.
o quid agis ? […] Il ne s’agit point ici de la narration comme partie essentielle du discours. […] Il s’agit ici de l’allégorie en tant que composition littéraire.
Si nous omettons ici l’autre grand poète du XVIIe siècle, c’est qu’il ne s’agit que de la rime, et que, sous ce rapport, La Fontaine est parfois d’une négligence qui n’est pas à imiter.
On n’agit que par vanité et par intérêt ; on fait semblant de se donner, pour posséder ceux à qui on fait accroire qu’on se donne à eux.