/ 262
236. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXII. des figures. — figures par rapprochement d’idées semblables  » pp. 301-322

La poésie s’en accommode mieux que la prose, l’éloquence mieux que l’histoire ; le genre didactique ne la dédaigne pas, la sentence acquiert par elle plus de netteté et d’énergie : les Essayistes anglais l’ont souvent employée avec un bonheur extrême ; chez les poëtes et les orateurs, elle sera plus brillante et plus élastique ; chez les philosophes et les historiens, plus significative et plus rigoureuse.

237. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section II. Des Ouvrages en Vers. — Chapitre I. Des Poésies fugitives. »

Ce sont deux vers latins, dont l’auteur, nommé Bourbon, était professeur d’éloquence grecque au Collège Royal et fut ensuite de l’Académie française.

238. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Voltaire, 1694-1778 » pp. 158-174

Bourdaloue ; nous repleurons M. de Turenne, Mme de Montausier, M. le prince, feu Madame, la reine d’Angleterre ; nous admirons ce portrait de Cromwell ; ce sont des chefs d’œuvre d’éloquence qui charment l’esprit : il ne faut point dire : « Oh !

239. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Lamartine 1790-1869 » pp. 506-523

L’éloquence de ce tableau est dans le contraste entre la folie des fureurs humaines et l’impassible sérénité de la nature.

240. (1853) Exercices de composition et de style ou sujets de descriptions, de narrations de dialogues et de discours

Dialogue vif et animé ; puis, discours de Lucien, qui reproche à ses amis leur apostasie avec tant de force, d’ éloquence et d’onction, que, détestant leur criminelle faiblesse, ils s’écrient d’une voix unanime : « Nous sommes chrétiens !  […] Caracalla le supplie de lui accorder le secours de son éloquence et l’appui de sa vertu : « si Papinien le proclame innocent, tout l’empire le croira. » Refus de Papinien. […] Démosthène et Eschine, à Athènes, étaient ennemis politiques et  rivaux d’éloquence. […] On dit à Roscius qu’un jeune homme d’un caractère doux et aimable, d’une santé délicate, d’une famille obscure et sans crédit, annonce de grands talents pour l’éloquence. […] En l’écoutant, le jeune orateur s’enflamme ; c’est pour défendre de telles causes qu’il a étudié l’éloquence ; c’est pour de tels combats qu’il a préparé son cœur et ses forces.

241. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section II. Des Ouvrages en Vers. — Notions préliminaires. »

Souvent on l’avait vu par sa mâle éloquence.

/ 262