L’espérance Il est dans le ciel une puissance divine, compagne assidue de la religion et de la vertu.
Je n’ai de force que pour m’élever, et pour vertu qu’une certaine incorruptibilité.
Pardonnons beaucoup à celui qui a écrit tant de belles pages sur la liberté, sur la vertu et sur Dieu ; mais réservons notre admiration tout entière pour les écrivains du dix-septième siècle, parce qu’en eux la simplicité, la naïveté même est unie à la grandeur, que la grâce y est la parure de la force, et la solidité l’essence même de leur génie.
. — En effet, mais cette émotion est d’un bon augure pour l’avenir, et il me prend envie de vous dire comme Diogène à un jeune homme de votre âge : « Courage, enfant ; ce sont les couleurs de la vertu !
Voyant la splendeur non commune Dont ce maraud est revêtu, Dirait-on pas que la fortune Veut faire enrager la vertu ?