/ 213
115. (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Remarques particulières sur chaque espèce de mots. » pp. 46-52

Ainsi, on dit bien : la Seine a sa source en Bourgogne 1.

116. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Fléchier 1632-1710 » pp. 84-88

Chacun trouve en soi la source de sa douleur, et rouvre lui-même sa plaie ; et le cœur, pour être touché, n’a pas besoin que l’imagination soit émue.

117. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Corneille, 1606-1684 » pp. 26-31

En puisant à ces sources, il élève l’homme au-dessus de lui-même, et nous ravit par l’enthousiasme.

118. (1867) Rhétorique nouvelle « Tableau des arguments » pp. 306-

L’énumération n’est pas seulement une preuve amplifiée, c’est la source la plus féconde des ornements oratoires.

119. (1867) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de rhétorique

Il y en a peu qui n’aient leur source dans quelque erreur et dans quelque faute de jugement : de sorte qu’il n’y a point de défaut dont on ait plus d’intérêt de se corriger. […] C’est la source du pyrrhonisme54, qui est une autre extravagance de l’esprit humain, qui, paraissant contraire à la témérité de ceux qui croient tout et décident de tout, vient néanmoins de la même source, qui est le défaut d’attention ; car, comme les uns ne veulent pas se donner la peine de discerner les erreurs, les autres ne veulent pas prendre celle d’envisager la vérité avec le soin nécessaire pour en apercevoir l’évidence. […] quelle source de la bonne plaisanterie, quelle imitation des mœurs, quelles images, et quel fléau du ridicule ! […] On voit dans ses capitulaires la source pure et sacrée d’où il tira ses richesses. […] Lorsque le cœur, pressé sous le poids des affaires, commence à sentir la tristesse, ils se réfugient dans vos bras ; et là, oubliant leurs douleurs, ils puisent le courage et la paix à leur source.

/ 213