.) ; renommée, repos, sang, soif, sommeil, etc.
Deux Princes du Sang des Bourbons ont été dignement loués par le P.
L’époux et l’épouse ne sont plus qu’une même cendre ; et tandis que leurs âmes, teintes du sang de Jésus-Christ, reposent dans le sein de la paix, j’ose le présumer ainsi de son infinie miséricorde, leurs ossements, humiliés dans la poussière du sépulcre, selon le langage de l’Écriture, se réjouissent dans l’espérance de leur entière réunion et de leur résurrection éternelle.
Blair vécut dans un âge très avancé ; il eut le malheur de survivre aux objets de ses affections les plus chères : il perdit une fille de vingt et un ans ; et, quelques années après, il eut à pleurer la mort de son épouse, à laquelle les liens du sang l’unissaient déjà : elle était fille de James Banatine, ministre d’Édimbourg. […] Tels deux torrents écumeux se précipitent du haut des rochers, se rencontrent, se mêlent, et roulent ensemble dans la plaine leurs ondes bouillonnantes ; ainsi, à la tête de leurs bataillons, se heurtent Lochlin et Inisfail, tous deux farouches, tous deux terribles, et faisant retentir les airs du choc de leur armure ; les chefs cherchent les chefs, les soldats joignent les soldats, l’acier résonne sur l’acier, les casques volent en éclats, le sang coule à grands flots, et fume sur la terre. […] Galilée a inventé le télescope ; Harvey a découvert la circulation du sang.
Il pense comme le dictateur d’Albe : Nous ne sommes qu’un sang et qu’un peuple en deux villes ; Pourquoi nous déchirer par des guerres civiles ? […] Développement 26. — L’oraison funèbre de Louis de Bourbon, prince de Condé, fut prononcée dans l’église Notre-Dame de Paris, le 10 mars 1687, en présence du Roi, des princes du sang, des évêques, des compagnies souveraines, des illustrations de la noblesse et de l’armée.