/ 183
122. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXI. des figures  » pp. 289-300

Comme lorsqu’il se trouve dans une foule de peuple des soldats en uniforme, vous les distinguez immédiatement et les rapportez aux divers corps auxquels ils appartiennent ; ainsi, dans un livre ou dans un discours, vous reconnaissez à certains signes caractéristiques une métaphore, une apostrophe, une hyperbole, etc. ; les mots ou les phrases dont elles se composent ont une forme ou figure qui leur est propre, toujours la même et ne se confondant pas avec d’autres.

123. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — La Fontaine (1621-1695.) » pp. 194-204

Il se rapporte au porc.

124. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Notes pour l’intelligence des exemples cités dans ce premier volume. » pp. 365-408

Il était lieutenant-général, et tenta le premier le passage du Rhin Chargé de reconnaître si le fleuve était guéable, pour qu’on pût aller à l’ennemi posté sur la rive opposée, il vint rapporter au roi qu’il avait trouvé un gué, et promit de passer à la tête de la cavalerie. […] Lucien fait sur ce Dieu une remarque qui mérite d’être rapportée ici.

125. (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre VI. — Différents genres d’exercices »

Prenons pour exemple le récit de l’aventure arrivée au maréchal de Grammont et si finement rapportée par madame de Sévigné : Le Roi poète et le Courtisan. […] Nous lisons ici des maximes que Corbinelli m’explique ; il voudrait bien m’apprendre à gouverner mon cœur ; j’aurais beaucoup gagné à mon voyage, si j’en rapportais cette science.

126. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section deuxième. La Tribune du Barreau. — Chapitre III. Analyse et extraits des Harangues d’Eschine et de Démosthène, pour et contre Ctésiphon. »

Mais il avait pour lui le plus grand de tous les avantages, celui d’appuyer de preuves sans réplique tous les faits qu’il rapporte, et toutes ses assertions de la lecture d’un acte public, qui les confirmait authentiquement.

/ 183