Ce prince réunit ses conseillers et leur fait part de la proposition qui lui a été faite. […] Aristide, un des membres du conseil, s’élève avec force contre cette proposition. […] Il appuya de divers motifs cette affreuse proposition, que le roi paraissait accueillir favorablement, et que deux autres de ses favoris soutinrent avec chaleur. […] Fédor, inquiet et troublé, assemble quelques amis et leur demande leurs sentiments sur la proposition du premier ministre. […] Sur sa proposition, le concile de Latran décréta l’abolition de la servitude et déclara que tout chrétien était libre.
La proposition est acceptée. […] 2° Difficultés d’abord ; puis la proposition est acceptée. […] Voyons-nous quelqu’un plongé dans l’infortune, le devoir nous impose obligation de chercher à alléger ses maux, à améliorer la proposition où il se trouve, et c’est ce que peut quelquefois accomplir une simple lettre.
… Adieu, mes enfants… mes vœux vous accompagneront toujours ; conservez mon souvenir… Proposition de paix 2 Bonaparte, premier consul, a Sa Majesté l’empereur et roi 3 Marengo, 27 prairial an VII (16 juin 1800). […] Si Votre Majesté se refusait à ces propositions, les hostilités recommenceraient5 ; et, qu’elle me permette de le lui dire franchement, elle serait, aux yeux du monde, seule responsable de la guerre.
À la fin de l’exorde, l’orateur distribue son sujet en ses parties ; c’est-à-dire, qu’il en tire plusieurs propositions, qui, disposées avec ordre, indiquent la marche qu’il va suivre pour le traiter : c’est ce qu’on appelle division. Ces différentes propositions doivent renfermer le sujet du discours dans toute son étendue, et tendre au même but, sans rentrer l’une dans l’autre, parce qu’alors il s’en trouverait une qui serait inutile. […] Il doit tirer toutes ses preuves du fond du sujet, et les lier tellement entre elles, qu’elles ne fassent qu’un tout, d’où découle naturellement la conclusion qui renferme la proposition générale. […] On va voir qu’il prouve d’abord cette proposition par un magnifique éloge de César, et ensuite par trois raisons qu’il développe d’une manière non moins solide que brillante.
Mais quoique cette conviction et cette espèce de foi humaine qu’on acquiert par l’étude des preuves de la religion chrétienne soient d’un ordre inférieur à la foi divine, qui est le principe de notre sanctification1/, et quoique la simplicité d’un paysan, qui croit fermement tous les mystères de la religion parce que Dieu les lui fait croire, soit infiniment préférable à toute doctrine d’un savant, qui n’est convaincu de la vérité de la religion que comme il l’est de la certitude d’une proposition de géométrie ou d’un fait dont il a des preuves incontestables, il est néanmoins très-utile d’envisager avec attention et de réunir avec soin toutes les marques visibles et éclatantes dont il a plu à Dieu de revêtir de ce caractériser, pour ainsi dire, la véritable religion.