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35. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Buffon, 1707-1788 » pp. 282-302

Fénelon avait dit : « Tout le discours est un ; il se réduit à une seule proposition mise au plus grand jour par des tours variés. […] Le discours est la proposition développée ; la proposition est le discours en abrégé. » 3.

36. (1881) Rhétorique et genres littéraires

Il se compose de trois propositions, dont la dernière est déduite des deux autres. […] Il tire de deux propositions contraires une seule conclusion. […] Elle confirme la vérité des faits annoncés dans la proposition et exposés dans la narration. […] Il prouve une proposition par une autre qui s’appuie sur la proposition même qui est à définir. […] Indispensable à l’unité, à la force et à la grâce de la pensée, elle consiste dans l’habile arrangement des propositions et de la période (περιόδος, circuit ou contour.)

37. (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Rabelais, 1483-1553 » pp. -

On entendait par mode du syllogisme l’ordre dans lequel sont disposées les propositions, et par figure l’ordre dans lequel sont disposés les termes. […] Proposition infinitive.

38. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre II. Éloge de Démosthène par Lucien. »

La proposition est acceptée, et Lucien se retire chez lui avec cet ouvrage ; il le parcourt avec avidité, et la seconde partie de l’éloge de Démosthène n’est que le texte prétendu de ce livre précieux, dont Lucien veut bien faire part à ses lecteurs.

39. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Résumé. » pp. 388-408

Les discours de la chaire commencent par la proposition et la division, qui doit être complète, naturelle et graduée. […] On en distingue diverses espèces : La réversion qui fait revenir les mots sur eux-mêmes dans deux propositions successives et opposées l’une à l’autre ; L’enthymémisme qui rapproche vivement les deux membres d’un enthymème ou syllogisme tronqué ; Le parodoxisme, antithèse d’idées formulée à l’aide d’une alliance de mots qui semblent s’exclure mutuellement.

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