La scène, la tribune, le barreau étaient déjà ce qu’ils sont encore, des lieux où le poëte et l’orateur communiquaient oralement leurs idées et leurs impressions à leurs concitoyens assemblés.
le poëte a procédé uniquement par les antécédents.
Mme Dacier, dans son enthousiasme pour le poëte qu’elle avait traduit (1699), ne craignait pas de le comparer, comme législateur, à Moïse lui-même.
Pour vous, messieurs, le monde n’est point une arène, mais un spectacle en face duquel le poëte s’inspire, l’historien observe, le philosophe médite.
Un de nos poètes nous fait comprendre par la profondeur de l’Océan, la profondeur de la sagesse divine. […] Nous nous plaisons à rapporter ici quelques strophes de ce dernier poète sur ce sujet.