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231. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Notes pour l’intelligence des exemples cités dans ce premier volume. » pp. 365-408

Au haut de son casque, paraît une chouette, son oiseau favori ; et sur son égide est peinte la tête de Méduse, dont les beaux cheveux furent changés en serpents, en punition du sacrilège que cette nymphe commit avec Neptune dans un des temples de Minerve.

232. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section I. De l’Art d’écrire correctement. — Chapitre I. De la nature des mots. » pp. 11-86

Cartouche, signifiant un ornement de sculpture ou de peinture, est masculin : = graver, peindre des armes dans un cartouche.

233. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre II. Les Oraisons ou discours prononcés. »

On ne demande point que ces mœurs soient vertueuses ; il suffit qu’elles soient vraies, c’est-à-dire ressemblantes au héros qu’on veut peindre, ou plutôt à l’idée qu’on en a communément.

234. (1867) Rhétorique nouvelle « Première partie. L’éloquence politique » pp. 34-145

Relisez les récits mérovingiens et l’histoire du vase de Clovis, ou plutôt assistez à cette scène qui vous peindra au vif les orages de cette société tumultueuse.

235. (1858) Exercices latins adaptés à la Grammaire latine d’après Lhomond. Deuxième partie : Cours gradué de versions latines sur la syntaxe, à l’usage des classes de sixième, cinquième et quatrième. Livre du maître pp. -370

Les yeux sont faits pour voir, les oreilles pour entendre, la langue pour parler, les pieds pour marcher ; la main est propre pour peindre, pour mouler, pour sculpter, pour tirer des sons de la lyre et de la flûte par une légère pression des doigts. — 5. […] Turpilius, chevalier Romain, peintre célèbre, peignait de la main gauche. — 11. […] Chez les Romains, la peinture fut de bonne heure en honneur : Fabius Pictor peignit le temple du Salut l’an quatre cent cinquante de la fondation de Rome ; cette peinture a duré jusqu’au règne de l’empereur Claude. — 14. […] Aussi son teint était livide, ses yeux égarés, sa démarche tantôt précipitée, tantôt ralentie : en un mot, l’égarement était peint sur sa figure et son visage.

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