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157. (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome I (3e éd.)

Les Saxons étaient un des peuples du Nord qui inondèrent l’Europe, et leur langue, qui n’était qu’un dialecte du gothique et du teutonique, tous deux bien étrangers au celtique, fut la base de la langue anglaise que nous parlons aujourd’hui ; ce dialecte, mêlé d’un peu de danois, continua d’être parlé dans toutes les parties méridionales de l’île jusqu’au temps de Guillaume le Conquérant, qui introduisit à la cour le normand ou le français, langues de sa patrie.

158. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre XI. Grands poèmes. »

Il est auteur de deux poèmes qui se rapportent à cette grande expédition : l’Iliade, ou les combats devant Ilion, et l’Odyssée, ou le retour d’Ulysse dans sa patrie après cette guerre.

159. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — La Bruyère, 1646-1696 » pp. 155-177

leur patrie, leurs noms, sont-ils connus ?

160. (1863) Principes de rhétorique et de littérature appliqués à l’étude du français

La césure s’y place d’ordinaire à l’hémistiche ; mais les plus grands poëtes ont pallié ce que cette règle a de rigoureux et de monotone ; on en citerait mille exemples : Il me représenta l’honneur et la patrie... […] Le vieil Horace, dans le procès de son fils, définit le crime en ces termes : Aimer nos ennemis avec idolâtrie De rage en leur trépas maudire la patrie, Souhaiter à l’État un malheur infini, C’est ce qu’on nomme crime, et ce qu’il a puni. […] « Pouvait-il faire à Dieu un plus beau sacrifice que de lui offrir une âme pure de l’iniquité de son siècle, et dévouée à son prince et à  sa patrie ?

161. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre III. Du Genre historique. »

Votre qualité d’historien vous donne le titre de juge : mais souvenez-vous sans cesse que vous ne pouvez vous dispenser d’être un juge également intègre, à l’égard des étrangers et de vos concitoyens, à l’égard des alliés de votre patrie et de ses plus implacables ennemis.

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