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90. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — La Fontaine 1622-1695 » pp. 339-378

Le sage y vit en paix, et méprise le reste. […] Nous cultivions en paix d’heureux champs, et nos mains Etaient propres aux arts, ainsi qu’au labourage. […] Malherbe a dit dans une ode contre la maréchale d’Ancre : Va-t’en à la malheure, excrément de la terre, Monstre qui dans la paix fais les maux de la guerre.

91. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre cinquième. De l’Éloquence des Livres saints. — Chapitre V. Beautés oratoires. »

Errants et dispersés d’un bout de l’univers à l’autre, vous ne trouverez de repos et de paix nulle part, et le terme de votre course fuira sans cesse loin de vous ; sans cesse votre vie sera suspendue devant vous à un fil léger.

92. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Gilbert. (1751-1780.) » pp. 297-303

Sans doute c’est ainsi que Turenne et Villars S’instruisaient dans la paix aux triomphes de Mars.

93. (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — La Satire Ménippée, 1594 » pp. -

C’est pourquoy je me donne au plus viste des Diables8, que si aucun de mon gouvernement s’ingere à parler de paix, je le courray9 comme un loup gris10.

94. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Massillon 1643-1743 » pp. 133-138

Les jours leur paraissent des moments, parce que tous les moments sont à leurs place : le temps ne leur pèse, pas, parce qu’il a toujours sa destination et son usage ; elles trouvent dans l’arrangement d’une vie uniforme et occupée cette paix et cette joie que les hommes cherchent en vain dans le dérangement et dans une agitation éternelle. » La Bruyère a dit : « L’ennui est entré dans le monde par la paresse ; elle a beaucoup de part à la recherche que font les hommes des plaisirs, du jeu, de la société.

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