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193. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section III. De l’Art d’écrire pathétiquement. — Chapitre I. Du Pathétique. » pp. 280-317

Vents, vous osez, sans mon aveu, troubler le Ciel et la Terre et ravager mon empire !

194. (1825) Rhétorique française, extraite des meilleurs auteurs anciens et modernes pp. -433

J’ai conçu l’idée du mieux ; j’ai osé entreprendre de la réaliser.

195. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre XII. Poésie dramatique. »

Mais sitôt que des philosophes et des dieux, on eut osé en venir aux magistrats mêmes, ceux-ci trouvèrent que la plaisanterie passait les bornes : ils firent une loi qui défendait de nommer les personnes.

196. (1862) Cours complet et gradué de versions latines adaptées à la méthode de M. Burnouf… à l’usage des classes de grammaire (sixième, cinquième, quatrième) pp. -368

Tout contrefacteur ou débitant de contrefaçons de cet Ouvrage sera poursuivi conformément aux lois. Toutes mes Editions sont revêtues de ma griffe. Avant-propos. Le succès toujours croissant de la nouvelle Méthode, à laquelle ce Cours est adapté, nous dispense d’en faire l’éloge, et d’ajouter un tardif et obscur hommage aux suffrages éminents qui l’ont accueillie dès son apparition. En offrant au public ce recueil, nous n’avons point la prétention chimérique de suivre pas à pas la théorie de l’auteur, de présenter chacun des exercices qui composent notre ouvrage, comme le développement spécial d’une règle de la Méthode.

197. (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre III. Du genre épique » pp. 207-250

Il faut qu’il se renferme, comme l’a fait Lucain, dans l’enceinte de la vérité historique, au risque de rendre sa narration sèche et aride ; ou, s’il ose aller au delà, comme Voltaire dans la Henriade, il éprouve un autre inconvénient : c’est que, dans le récit d’événements très connus, la vérité et la fiction ne se mêlent pas d’une manière naturelle, et ne forment pas un seul tout intimement lié.

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