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250. (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Canevas

Adieu, ma très chère et très aimable, je suis fort affligée d’être prisonnière à Lambesc, mais le moyen de deviner des pluies qu’on n’a point vues dans ce pays depuis des siècles. […] Ce n’est qu’après la quatrième définition que le parallèle s’établit au moyen des contrastes et de l’antithèse. […] Sire, voilà ce qu’on vous conseille 1 N’y a-t-il pas d’autre moyen de conserver votre royaume ? […] Imitant d’abord son adversaire, il compare Callidore au soleil qui vivifie la nature et Polidore à la lune, qui est l’emblème du changement et de l’inconstance ; mais bientôt il abandonne ces moyens peu sérieux.

251. (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre II. Du genre didactique. » pp. 161-205

La satire badine on enjouée prend un ton piquant et léger ; elle critique, en plaisantant, les ridicules, les faiblesses du cœur, et les erreurs du goût et de la raison ; elle se borne à la raillerie, regardant ce moyen comme plus efficace et plus convenable que la colère, pour arriver à son but.

252. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Notes pour l’intelligence des exemples cités dans ce premier volume. » pp. 365-408

Il concourut efficacement à l’établissement de l’École Royale Militaire à Paris, et aux moyens de le maintenir.

253. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Notes pour l’intelligence des exemples cités dans ce second volume. »

Mais bientôt le héros, honteux de sa passion, trouva le moyen de s’éloigner de celle qui l’avait fait naître.

254. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre X. Petits poèmes. »

Servant par ce moyen chacun selon son goût, Grâce à votre raison et grâce à ma folie,         Vous verrez, ma sœur, que partout         Nous passerons de compagnie. » Après La Fontaine, Florian et Lamotte (pour les mettre dans le rang que l’estime publique paraît leur avoir assigné), il serait injuste de ne pas citer Arnault, dont les fables, publiées pour la première fois en 1812, sont remarquables par leur originalité, et ne ressemblent aucunement à celles qu’on avait faites avant lui.

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