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258. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Boileau, (1636-1711.) » pp. 212-225

Laissez mourir un fat dans son obscurité : Un auteur ne peut-il pourrir en sûreté ?

259. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre IV. Genre didactique. »

Ce que je pardonne encore moins à l’auteur, si estimable par son savoir et sa probité, c’est de citer des vers classiques, qui doivent mourir dans les lieux où ils sont nés.

260. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Molière, 1622-1673 » pp. 43-55

En admirant le philosophe, que Boileau surnomma le contemplateur, on aime le comédien qui mourut victime de son art et de sa bienfaisance.

261. (1825) Rhétorique française, extraite des meilleurs auteurs anciens et modernes pp. -433

Je meurs si je vous perds, mais je meurs si j’attends.

262. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre quatrième. De la disposition oratoire, ou de l’Ordre mécanique du discours. — Chapitre II. Application du chapitre précédent au discours de Cicéron pour Milon. »

Clodii morte acquierunt.

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