Laissez mourir un fat dans son obscurité : Un auteur ne peut-il pourrir en sûreté ?
Ce que je pardonne encore moins à l’auteur, si estimable par son savoir et sa probité, c’est de citer des vers classiques, qui doivent mourir dans les lieux où ils sont nés.
En admirant le philosophe, que Boileau surnomma le contemplateur, on aime le comédien qui mourut victime de son art et de sa bienfaisance.
Je meurs si je vous perds, mais je meurs si j’attends.
Clodii morte acquierunt.