Un évêque de Lisieux ayant lu un nouvel ouvrage de Balzac, se contenta de dire : Cela est beau, mais pas assez pour la peine que cela a dû lui coûter.
Homère et Virgile possèdent au plus haut degré le talent de la description poétique ; il suffit, pour en juger, de lire quelques pages de leurs écrits.
Il cite et fait lire la lettre insolente que ce prince avait écrite aux habitants de l’île d’Eubée ; il en tire l’occasion de nouveaux reproches aux Athéniens, sur leur inconcevable indolence.
Sans doute, le but final que doivent se proposer tous les genres de poésie et même toutes les compositions littéraires, doit être de faire une impression utile sur l’esprit de ceux qui les lisent.
Il faut lire et relire Homère pour apprendre l’art de varier et de faire contraster les caractères.