/ 312
305. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Lacordaire, 1802-1861 » pp. 542-557

Chacun a sa petite sphère de célébrité, et, tant qu’il y reste, il est heureux.

306. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Molière 1622-1672 » pp. 379-400

Et s’y veut contenter de la fausse pensée Qu’ont tous les autres gens que nous sommes heureux.

307. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section III. De l’Art d’écrire pathétiquement. — Chapitre I. Du Pathétique. » pp. 280-317

Toutes les îles sont comme un petit grain de poussière… Tous les peuples du monde sont devant lui comme s’ils n’étaient pas ; et il les regarde comme un vide et comme un néant. » Voici l’heureuse imitation que Racine a faite de ce passage, dans sa Tragédie d’Esther.

308. (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « PREMIÈRE PARTIE. DE L'ÉLÉGANCE LATINE. — CHAPITRE IV. Des Figures. » pp. 144-262

Heureuse et exempte des lois. […] Qui his in terris beatus est, beatior esse potest. — Felix exprime l’état du cœur disposé à goûter le plaisir, et à le trouver dans les biens dont il jouit ; heureux, qui a du succès. […] Cic. — Infelix (non felix), qui n’est pas heureux.

309. (1863) Discours choisis ; traduction française par W. Rinn et B. Villefore. Première partie.

Heureuse la république, si elle pouvait rejeter cette fange impure ! […] Que ce dernier jour leur paraissait différent de ce temps heureux ! […] Que ce soit un voleur, un sacrilège, le plus scélérat, le plus débauché de tous les hommes ; mais, dira-t-on, c’est un général heureux et vaillant, et qui mérite d’être conservé pour les temps critiques dans lesquels la république peut se trouver. […] Qu’avancez-vous, heureux gardien et défenseur de la province ? […] Voici l’expédient heureux dont il se servait dans la mauvaise saison pour se défendre de la rigueur du froid, de l’intempérie de l’air et des débordements des fleuves.

/ 312