Mais pour le faire dignement, il faut que cet orateur pense qu’il a pour juges Dieu et les hommes : Dieu, dont il ne doit ni trahir la cause, ni négliger les intérêts par de frivoles égards, ou par de lâches complaisances ; les hommes, en qui il ne doit voir que, des frères égarés, que l’indulgence ramènera, et que trop de sévérité aigrirait peut-être pour toujours.
Il tenait sans cesse près de son cœur, comme pour le réchauffer, sa famille, son enfant, ses frères, quelques amis.
Enfin, l’un d’eux dit aux autres : mes frères, prions notre père qui est dans les deux, peut-être il aura pitié de nous dans cette détresse. […] Et quand ils eurent prié, celui qui avait dit : Prions, dit encore : Mes frères, ce qu’aucun de nous n’a pu faire seul, qui sait si nous ne le ferons pas tous ensemble ? […] Invoquons le secours du ciel, et unissons-nous à nos frères pour prier et travailler.
La parole de Dieu Oui, mes frères, c’est aux auditeurs de faire3 les prédicateurs ; ce ne sont pas les prédicateurs qui se font eux-mêmes. […] Pourtant, mes frères, n’en rougissons pas.
J’aurais vu massacrer et mon père et mon frère, Du haut de son palais précipiter ma mère, Et dans un même jour égorger à la fois (Quel spectacle d’horreur !) […] Mais ne nous flattons point, et laissons le mystère : La sœur vous touche ici beaucoup moins que le frère ; Et pour Britannicus… Junie.