Ce que dit un historien au sujet de Pompée est outré et excessif : Telle fut la fin du grand Pompée, après trois consulats et autant de triomphes, et après avoir dompté l’univers ; la fortune s’accordant si peu avec elle-même à l’égard de ce héros, que la terre qui venait de lui manquer pour ses victoires, lui manqua pour sa sépulture.
Je mets au second rang, quoique quelques-uns leur donnent le premier, les pièces qui ont une catastrophe double, comme l’Odyssée, où les bons et les méchants éprouvent un changement de fortune.
Oui, puisque je retrouve un ami si fidèle, Ma fortune va prendre une face nouvelle.
On doit faire attention aux mœurs, aux habitudes, à l’éducation, au caractère, aux préjugés des hommes devant qui on parle ; on prendra garde à l’influence du caractère national, à celle que produit la différence des gouvernements, des âges, des fortunes et des principes de ses auditeurs, à leurs dispositions particulières relativement à la cause que l’on traite ; on s’attachera surtout à saisir adroitement leurs endroits sensibles, et à les prendre par leur faible.
Mais une fortune ainsi bâtie tombe avec le temps et s’écroule sur elle-même.