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176. (1811) Cours complet de rhétorique « Notes. »

Rousseau, quelques traces de ces opinions erronées auxquelles M. de La Harpe ne devait plus tenir, même en les modifiant, dans un ouvrage destiné à faire époque, et où l’on veut trouver des règles générales, et non pas des manières de voir particulières.

177. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section III. De l’Art d’écrire pathétiquement. — Chapitre I. Du Pathétique. » pp. 280-317

Il épouse Mademoiselle ; ma foi, par ma foi, ma foi jurée, Mademoiselle, la grande Mademoiselle, Mademoiselle, fille de feu Monsieur, Mademoiselle, petite-fille de Henry IV, mademoiselle d’Eu, mademoiselle de Dombes, mademoiselle de Montpensier, mademoiselle d’Orléans, Mademoiselle, cousine germaine du Roi ; Mademoiselle, destinée au trône ; Mademoiselle, le seul parti de France, qui fût digne de Monsieur. » Il y a une espèce de suspension qui badine et qui se joue de l’attention du Lecteur.

178. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Chapitre » pp. 169-193

Ce grand cœur qui paraît aux discours que tu tiens Par tes yeux, chaque jour, se découvrait aux miens ; Et croyant voir en toi l’honneur de la Castille, Mon âme avec plaisir te destinait ma fille.

179. (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Principes généraux des belles-lettres. » pp. 1-374

Ne croyez pas pourtant que vous soyez redevable de tout à ma mauvaise destinée. […] ……Mais en l’état où sont mes destinées, De telles libertés doivent m’être données ; Et je puis sans rougir faire un aveu si doux A celui que déjà je regarde en époux. […] Nous venons de voir un genre de poésie, destiné à donner, dans l’appareil du spectacle, des leçons aux hommes, en les divertissant, en les faisant rire. En voici un, également destiné, sous la pompe théâtrale, à nous instruire, en nous arrachant des larmes.

180. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre V. Ouvrages historiques. »

Mais ils nous font sentir en même temps notre impuissance de nous élever jusqu’à l’imitation de ces actions d’éclat qui ont fixé la destinée des empires et le sort des peuples ; au lieu que nous ne jugeons pas au-dessus de nos forces morales les actions particulières d’un homme, quelque illustres qu’aient été son rang ou sa naissance59.

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