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79. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre IV. Thomas. »

C’est là que nous apprenons que, chez Corneille, la langue poétique ne connut pas ce trouble et ce désordre que répand sur elle le souffle orageux des passions, etc.

80. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Pascal. (1623-1662.) » pp. 35-39

, XV, 9 ; Corneille, Polyeucte, V, 3 ; et Bossuet, IIe partie, III, du Disc. sur l’hist.

81. (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Descartes, 1596-1650 » pp. 9-14

Nous lui devons autant qu’à Corneille ; car il a donné à tous les penseurs un instrument capable de suffire aux plus hautes spéculations.

82. (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre IV. — Du Style. »

Corneille. […] Ainsi Racine et Corneille ont heureusement placé dans leurs vers les expressions communes chiens, boucs, pavé, etc. […] Corneille, dans la tragédie de Nicomède, acte III, sc. 

83. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre VII. Vers, stances, classification des poèmes. »

La syllabe muette qui termine le vers ne compte pas : ainsi dans ce vers de Corneille : La façon de donner vaut mieux que ce qu’on donne, on compte douze syllabes seulement ; la treizième ne étant muette et finale, est comme si elle n’existait pas.

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