C’est là que nous apprenons que, chez Corneille, la langue poétique ne connut pas ce trouble et ce désordre que répand sur elle le souffle orageux des passions, etc.
, XV, 9 ; Corneille, Polyeucte, V, 3 ; et Bossuet, IIe partie, III, du Disc. sur l’hist.
Nous lui devons autant qu’à Corneille ; car il a donné à tous les penseurs un instrument capable de suffire aux plus hautes spéculations.
Corneille. […] Ainsi Racine et Corneille ont heureusement placé dans leurs vers les expressions communes chiens, boucs, pavé, etc. […] Corneille, dans la tragédie de Nicomède, acte III, sc.
La syllabe muette qui termine le vers ne compte pas : ainsi dans ce vers de Corneille : La façon de donner vaut mieux que ce qu’on donne, on compte douze syllabes seulement ; la treizième ne étant muette et finale, est comme si elle n’existait pas.