Si l’on se sent un talent décidé pour ce genre de poésie, on doit s’armer contre les ridicules, les vices généraux de la société, et faire des épigrammes morales, telles que celle-ci de Pellisson 157. […] Il faut se contenter d’attaquer les vices et les ridicules généraux, sans jamais donner dans l’odieux des personnalités.
Ces premiers mots sont l’esquisse générale ils contiennent tous les contours de cette physionomie que l’auteur va dessiner. […] Esquisse générale, fidèle et expressive. […] Accord bien rare dans les généraux d’armée ; qui, par leurs secrètes jalousies, perdait souvent des batailles ! […] Tous ces détails forment autant de tableaux séparés que le talent de l’écrivain place les uns à côté des autres pour faire un tableau général. […] — Deux fois, général, et sans succès. — Eh bien !
Elle s’élance, étend son vol, tourbillonne, enveloppe, arrache, entraîne, éclate et tonne, et devient, grâce au ciel, un cri général, un crescendo public, un chorus universel de haine et de proscription.
Voila l’ordre tel qu’il doit être au point de vue de la grammaire et de la logique, ordre basé sur les lois générales du langage, et qui serait le même dans toutes les langues, si l’on suivait constamment dans la parole ou dans l’écriture le rapport analytique des idées dont les mots ne sont que les images ; ordre enfin qu’une traduction rigoureuse doit suivre pas à pas, avec la plus scrupuleuse exactitude. […] Ainsi, ce serait une faute de dire : Neque potest imperator continere exercitum, qui se ipsum non continet, parce que le conjonctif qui suivant immédiatement le mot exercitum, qui est du même genre et du même nombre, donnerait lieu à une équivoque ; on ne saurait si c’est le général ou l’armée qui ne peuvent se contenir. […] Ces règles ne sont qu’une application très-imparfaite des règles générales que nous venons d’exposer. […] Car ce fut un grand général et sur terre et sur mer.
Qualités générales du style. […] Il ne suffit pas de porter son attention sur les mots et sur les pensées, il faut encore savoir coordonner les idées entre elles, et les faire rapporter à un centre commun, à une pensée générale. […] Examinez ces tableaux, pleins d’harmonie, chefs-d’œuvre de composition d’un grand peintre : tout se tient et concourt à l’effet général ; les différentes parties se rapprochent sans confusion ; elles sont liées par les effets du clair-obscur et par la dégradation des teintes ; l’ensemble satisfait l’œil et plaît à l’imagination : telle doit être aussi la composition littéraire.
Au moins veulent-ils hasarder leur fortune et leurs espérances tout à la fois, et demandent un assaut général ou une bataille, pour n’avoir rien à faire le lendemain6. […] Ce prince était né général ; l’art de la guerre semblait en lui un instinct naturel : il n’y avait en Europe que lui et le Suédois Torstenson qui eussent eu à vingt ans ce génie qui peut se passer de l’expérience335. […] On acheta peu cher quelques magistrats, quelques officiers ; et à la fin même le marquis d’Yenne, gouverneur général, devint si traitable, qu’il accepta publiquement après la guerre une grosse pension et le grade de lieutenant général en France. […] Il ne tempérait le faste du trône qu’en faisant manger à sa table ses officiers généraux et ses aides de camp. […] Elle l’a mis en état de faire ce choix en usant bien des facultés dont elle l’a doué ; mais elle a tellement borné ses forces, que l’abus de la liberté qu’elle lui laisse ne peut troubler l’ordre général.
Fouquet, naguère procureur général, surintendant des finances, ministre d’État, objet de l’admiration et de l’envie, maintenant à peine estimé digne de pitié. […] Qu’ils sachent qu’on ne touche presque point sans instruire, que l’éloquence n’est elle-même qu’une solide et forte raison, tellement accommodée au sens général et aux divers goûts des hommes qu’elle entre dans les esprits malgré qu’on en ait. […] Je voudrais que cette préparation générale le mît en état de se préparer moins pour chaque discours particulier. […] La dissipation fut entière et la dispersion générale. […] L’ordre des pensées exige de l’écrivain : 1º qu’il se fasse avant d’écrire un premier plan général : 2º qu’il donne de l’unité à son œuvre, et n’affaiblisse pis, par le trop grand nombre des divisions, l’impression d’ensemble.
La loi n’était pas pour eux un objet aussi strictement sévère que pour nous ; et du temps de Démosthène et de Cicéron, les lois municipales étaient simples, générales, et surtout en petit nombre.
(Ces observations ne peuvent être réduites en règles générales, la lecture et le dictionnaire doivent en tenir lieu.
Telles sont les idées générales que nous nous sommes formées, et que nous avons cru devoir donner de l’éloquence.
Ceux à qui l’âge laisse encore l’espoir d’être pères, trouveront dans de nouveaux enfants un adoucissement aux larmes qu’ils répandent aujourd’hui, et la république en retirera le double avantage d’une population plus nombreuse et d’un concours unanime au bien général.
Faire prévaloir tout ce qui est bon et honnête, le juste sur l’injuste ; assurer le triomphe de la vérité et de la vertu ; défendre la pureté et la sainteté de la morale et de la religion ; étendre l’empire des lettres, des sciences et des arts ; raffermir l’existence des sociétés ébranlées ; travailler à l’utilité ou au bien général : tel est le domaine de l’orateur, telle est la gravité de la mission qu’il est appelé à remplir parmi ses concitoyens.
On ne lui a pas inspiré d’assez bonne heure les grandes et générales maximes qui sont celles qui font et qui forment ce que l’on appelle l’esprit de suite.
Dans ses vastes et dramatiques tableaux, il sait à la fois embrasser un plan général, et descendre aux moindres détails, avec une précision toujours instructive même pour les lecteurs les plus compétents.
Ce qui fit un héros du prince de Condé J’appelle le principe de ces grands exploits cette ardeur martiale qui ; sans témérité ni emportement, lui faisait tout oser et tout entreprendre ; ce feu qui, dans l’exécution, lui rendait tout possible et tout facile ; cette fermeté d’âme que jamais nul obstacle n’arrêta, que jamais nul péril n’épouvanta, que jamais nulle résistance ne lassa, ni ne rebuta ; cette vigilance que rien ne surprenait ; cette prévoyance à laquelle rien n’échappait ; cette étendue de pénétration avec laquelle, dans les plus hasardeuses occasions, il envisageait d’abord tout ce qui pouvoit ou troubler, ou favoriser l’événement des choses : semblable à un aigle dont la vue perçante fait en un moment la découverte de tout un vaste pays ; cette promptitude à prendre son parti, qu’on n’accusa jamais en lui de précipitation, et qui, sans avoir l’inconvénient de la lenteur des autres, en avait toute la maturité ; cette science qu’il pratiquait si bien, et qui le rendait si habile à profiter des conjonctures, à prévenir les desseins des ennemis presque avant qu’ils fussent conçus, et à ne pas perdre en vaines délibérations ces moments heureux qui décident du sort des armées ; cette activité que rien ne pouvait égaler, et qui, dans un jour de bataille, le partageant, pour ainsi dire, et le multipliant, faisait qu’il se trouvait partout, qu’il suppléait à tout, qu’il ralliait tout, qu’il maintenait tout : soldat et général tout à la fois, et, par sa présence, inspirant à tout le corps d’armée, jusqu’aux plus vils membres qui le composaient, son courage et sa valeur, ce sang-froid qu’il savait si bien conserver dans la chaleur du combat, cette tranquillité dont il n’était jamais plus sûr que quand on en venait aux mains, et dans l’horreur de la mêlée ; cette modération et cette douceur pour les siens, qui redoublaient à mesure que sa fierté pour l’ennemi était émue ; cet inflexible oubli de sa personne, qui n’écouta jamais la remontrance, et auquel constamment déterminé, il se fit toujours un devoir de prodiguer sa vie, et un jeu de braver la mort ; car tout cela est le vif portrait que chacun de vous se fait, au moment que je parle, du prince que nous avons perdu ; et voilà ce qui fait les héros1.
Voyez, entre autres, le beau discours de Pacuvius à son fils Pérolla, qui avait formé le projet de tuer Annibal dans un festin que lui donnait le général carthaginois. […] » Et vous, première légion, qui avez reçu vos étendards de Tibère ; vous, vingtième, compagne de ses nombreux exploits, et comblée de ses bienfaits, voilà donc la reconnaissance dont vous payez votre général ?
On a dit de plusieurs généraux qu’ils avaient été vaincus, sans avoir été défaits, parce que le lendemain de la perte d’une bataille, ils étaient en état d’en donner une nouvelle. […] Citons cette belle période de Fléchier, chef-d’œuvre d’harmonie et d’éloquence ; elle est tirée de l’exorde de l’Oraison funèbre de Turenne : Cet homme, qui portait la gloire de sa nation jusqu’aux extrémités de la terre, | qui couvrait son camp du bouclier et forçait celui des ennemis avec l’épée ; || qui donnait à des rois ligués contre lui des déplaisirs mortels, | et réjouissait Jacob par ses vertus et par ses exploits, dont la mémoire doit être éternelle ; || cet homme qui défendait les villes de Juda, qui domptait l’orgueil des enfants d’Ammon et d’Ésaü, qui revenait chargé des dépouilles de Samarie, après avoir brûlé sur leurs propres autels les dieux des nations étrangères ; || cet homme que Dieu avait mis autour d’Israël, comme un mur d’airain où se brisèrent tant de fois toutes les forces de l’Asie, | et qui, après avoir défait de nombreuses armées, déconcerté les plus fiers et les plus habiles généraux des rois de Syrie, venait tous les ans, comme le moindre des Israélites, réparer avec ses mains triomphantes les ruines du sanctuaire, et ne voulait d’autre récompense des services qu’il rendait à sa patrie, que l’honneur de l’avoir servie ; || ce vaillant homme poussant enfin, avec un courage invincible, les ennemis qu’il avait réduits à une fuite honteuse, recul le coup mortel et demeura comme enseveli dans son triomphe.
Aidé des lumières d’une raison droite et sage, il entrevit des vérités qui devaient être utiles à ses semblables ; telles que l’établissement de certaines lois générales, la fixation des propriétés particulières, les heureux effets d’une union stable et permanente, etc.
Nos ennemis sont pleins de prudence et d’habileté, et nos généraux sont malhabiles, et notre soldat découragé.
L’on ne lui a pas inspiré d’assez bonne heure les grandes et générales maximes qui sont celles qui font et qui forment ce que l’on appelle l’esprit de suite.
Les figures de mots peuvent se diviser en trois classes : les figures grammaticales, qui s’éloignent des lois générales du langage ; les figures oratoires, qui consistent dans un certain arrangement des expressions destiné à embellir le style, et qui comme les figures de grammaire conservent aux mots leur signification propre ; enfin, les tropes, qui donnent aux mots une signification différente de leur signification naturelle. […] La lettre de Mme de Sévigné sur la mort de Turenne peut servir d’exemple. — On doit donc employer le style périodique ou le style coupé de préférence, selon la nature et le caractère général de l’ouvrage. […] Comme il est difficile d’établir sur ce point des principes bien précis, nous donnerons seulement quelques règles générales que Delille et du Resnel ont traduites de Pope, surnommé le Boileau de l’Angleterre, et que ce poète paraît avoir lui-même empruntées au livre III de la Poétique de Vida : Haud satis est illis… sonitu illætabilis ipso. […] Les poètes grecs et latins admettaient quelquefois des épithètes qui n’avaient d’autre objet que de peindre la personne ou la chose d’une manière générale, sans rapport spécial avec la circonstance présente.
Toutefois, si l’on voulait énoncer une idée générale, une maxime, une sentence, il serait mieux d’employer le terme abstrait, comme dans cet exemple : Studia adolescentiam alunt, senectutem oblectant. […] Vos généraux ont, à la vérité, remporté des victoires ; mais Mithridate vaincu et chassé n’a pas moins continué de régner. […] Servez-vous de moi ou comme votre général, ou comme votre compagnon d’armes. […] Quelle est la cité de la Gaule qui puisse supporter l’orgueil, je ne dis pas d’un général ou d’un lieutenant, mais d’un seul tribun ?
La Harpe, moins heureux toutefois en jugeant Corneille que lorsqu’il apprécie Racine ; Geoffroy, dans son Cours de littérature dramatique ; Lemercier, dans son Cours analytique de littérature générale ; les Observations critiques de Palissot, dans son édition de Corneille ; le travail que François de Neuf-château joignit à la collection des Chefs-d’œuvre de cet auteur (Didot, 1814-1819) ; l’Histoire de la littérature française de M. […] Généraux de l’empereur d’Allemagne Ferdinand III, qui prirent part à la guerre de Trente ans.
Mais, avant de chercher l’ordre dans lequel on présentera ses pensées, il faut s’en être fait un autre plus général et plus fixe, où ne doivent entrer que les premières vues et les principales idées : c’est en marquant leur place sur ce premier plan, qu’un sujet sera circonscrit, et que l’on en connaîtra l’étendue ; c’est en se rappelant sans cesse ces premiers linéaments, qu’on déterminera les justes intervalles qui séparent les idées principales, et qu’il naîtra des idées accessoires et moyennes qui serviront à les remplir1. Par la force du génie, on se représentera toutes les idées générales et particulières sous leur véritable point de vue ; par une grande finesse de discernement, on distinguera les pensées stériles des idées fécondes ; par la sagacité que donne la grande habitude d’écrire, on sentira d’avance quel sera le produit de toutes ces opérations de l’esprit.
De ces motifs généraux, les lois personnifiées passent à des considérations particulières à Socrate.
4° Les sujets qui ne présentent pas un intérêt assez général.
Et cette seule nécessité d’observation, d’impartialité, de distraction de soi, en supposant une grande sensibilité théorique et générale, pour ainsi dire, détruit toute idée de sensibilité pratique et actuelle.
Il dispose à son gré de sa matière, il n’est guère soumis qu’aux lois générales du bon sens et du goût ; pour le reste, il ne reçoit de règles que de lui-même et de son sujet.
De nos jours aussi, sa vie et ses œuvres ont été le sujet des travaux de nombreux critiques : on citera parmi eux Lemercier, tome II de son Cours analytique de la littérature générale ; M.
Dans le roman de mœurs, on représente exactement les mœurs générales de la société où l’on vit.
Elles se divisent en deux classes : les unes déclinatives et conjugatives, qui servent à désigner les genres, les nombres, les cas, dans les mots déclinables, et les temps, les nombres, les personnes, les modes dans les verbes ; les autres spécificatives, servant à spécifier le sens général du mot racine, et à former des dérivés de toute espèce : des noms, des adjectifs, des verbes, des adverbes, etc.
Dans l’espoir d’aider à cette réforme très simple et très féconde, je donne ici quelques conseils généraux sur l’art de lire à haute voix et de réciter, c’est tout un. […] Le premier soin est de reconnaître par un coup d’œil général le sujet du morceau et de s’en pénétrer assez profondément pour y prendre un véritable intérêt ; l’attention produit une sorte d’excitation réfléchie de l’imagination. […] Telles sont les règles générales ; les règles particulières de l’art de bien lire se rapportent à trois objets principaux : la prononciation, l’intonation et l’accent. […] Une règle générale qui n’admet pas d’exception, c’est d’élever sensiblement la voix sur les mots qui représentent une idée importante, un sentiment vif et passionné. […] Mais, ce que nul n’avait l’ait avant lui, ce que pendant plusieurs siècles ne devait tenter aucun de ses successeurs, il gouverna ses sujets pour eux-mêmes, et non pour lui seul, d’après des idées générales, avec des intentions publiques, préoccupé des besoins sociaux en même temps que de ses propres intérêts.
La paix était générale depuis la plus haute région de l’air jusque sur la face de la terre ; l’eau de la rivière paraissait aussi plate que celle d’un lac ; et si, en pleine mer, un tel calme surprenait pour toujours les vaisseaux, ils ne pourraient jamais ni se sauver ni se perdre34. […] La générale consternation où la perte de notre grand monarque nous avait plongés101 enflait l’orgueil de nos adversaires en un tel point, qu’ils osaient se persuader que du siège de Rocroy dépendait la prise de Paris ; et l’avidité de leur ambition dévorait déjà le cœur d’un royaume dont ils pensaient avoir surpris les frontières102. […] Don Francisco de Mellos l’attend de pied ferme ; et, sans pouvoir reculer, les deux généraux et les deux armées semblent avoir voulu se renfermer dans des bois et dans des marais566, pour décider leur querelle, comme deux braves567, en champ clos. […] Nos ennemis sont pleins de prudence et d’habileté, et nos généraux sont malhabiles, et notre soldat découragé. […] Vous vivez comme ayant un bandeau fatal sur les yeux ; vous vous flattez sur des succès journaliers, qui ne décident rien, et vous n’envisagez point d’une vue générale le gros des affaires, qui tombe insensiblement sans ressource.
Mais il y a certains défauts généraux qu’il faut avoir en vue d’éviter, et qui sont les sources ordinaires de ces mauvaises manières.
Cette forme de comparatif était générale au xvie siècle.
Tout homme qui n’est ni commissaire, ni général, ni valet ou courtisan des uns ou des autres, ne peut manger un œuf.
On est étonné de voir Buffon lui-même soutenir que le style n’aura ni noblesse, ni vérité, ce qui est plus étrange, si l’on n’a soin de nommer les choses que par les termes les plus généraux, si l’on ne se défie de son premier mouvement, si l’on se laisse emporter à son enthousiasme, si l’on n’a partout plus de candeur que de confiance, plus de raison que de chaleur.
Philibert de Trudaine, intendant général des finances, et qui réunissait dans son département le commerce, les manufactures, les ponts et chaussées, etc., se fit remarquer par une administration aussi active qu’éclairée.
Les vertus de ses généraux étaient encore des vertus magistrales, et, sur leur tribunal militaire, ils n’avaient point une autre contenance que sur la chaise curule.
C’est surtout dans les morceaux d’une certaine étendue, et où plusieurs circonstances concourent à un effet général, que l’on peut remarquer avec quelle vérité, avec quelle scrupuleuse attention ces grands poètes s’attachent à tout peindre, afin qu’il n’y ait pas, dans leur tableau, un seul trait qui ne contribue à faire ressortir les autres, en ressortant lui-même à propos.
L’idée que vous exploitez peut se rattacher à une idée plus générale, elle peut renfermer en soi un plus ou moins grand nombre d’idées spéciales et individuelles ; étudiez-la donc sous le rapport du genre, sous le rapport de l’espèce.
La correspondance de Louis XIV donnée en grande partie dans ses Œuvres publiées en 1806, confirme en tout point cet éloge : on y trouve les Instructions qu’il rédigea pour le grand Dauphin et le roi d’Espagne (Philippe V) ; il y a, en outre, beaucoup de lettres de Louis XIV à sa famille, à ses généraux, à ses ministres, beaucoup d’ordres remarquables, comme dit Saint-Simon, par la netteté et la précision.
Une dernière observation générale, c’est qu’une lettre ne doit point être allongée sans nécessité, excepte entre amis.
Ils conduisent un général par la main, et, après l’avoir loué de mille sottises qu’il n’a pas faites, ils lui en préparent mille autres qu’il ne fera pas6.
Beauzée (1717-1789) composa une grammaire générale.
Structure générale de l’univers, description de la terre en particulier.
Il mettait les Macédoniens à la tête des troupes et les gens du pays à la tête du gouvernement : aimant mieux courir le risque de quelque infidélité particulière (ce qui lui arriva quelquefois) que d’une révolte générale.