Il convient aussi d’observer que les maires du palais et les comtes de Paris se placèrent dans le trône des rois à la faveur des moyens qui leur avaient servi à s’insinuer dans leur esprit, c’est-à-dire par l’affaiblissement et par le changement des lois de l’État.
Voilà cependant ce dont il faut que l’on convienne, à moins que l’on n’ait pris le parti bien formel de ne rien voir que son opinion, ou celle plutôt d’après laquelle on s’en est fait une.
Ces paysages n’ont rien de convenu, ni d’artificiel ; c’est peint d’après nature.
Il faut entrer indifféremment dans tout ce qui leur est agréable, s’y arrêter autant qu’ils le veulent, et s’éloigner de tout ce qui ne leur convient pas.
Cet étalage de lecture, ce faste d’érudition ne convient pas à l’éloquence.
Il semble en effet que ce langage convient mieux à la religion que la parole. […] Le bruit des eaux convient à toutes ces impressions vagues et profondes ; il est uniforme, comme l’édifice est régulier. […] Au sortir du collège, il entra dans la vie militaire, qui convenait peu à son humeur libre et rêveuse. […] Paris, ni toute autre ville, ne pouvait convenir pour cette cérémonie, qui devait s’accomplir en plein air au milieu d’un camp. […] Cette mission convenait particulièrement à l’esprit souple et délicat de M.
Vous savez que je vous donnai une manière de devise qui vous convenait : voici un mot que j’ai écrit sur un arbre pour mon fils, qui est revenu de Candie : Vago di fama 3 ; n’est-il point joli pour n’être qu’un mot ?
Les études contenues dans cette première partie conviennent à toutes les personnes qui veulent cultiver leur esprit et polir leur diction ; elles sont spécialement consacrées au style et à la composition française.
Il nous enseigna l’espèce d’harmonie imitative qui lui convient, et comment on se sert de l’inversion avec art et réserve.
Les synonymes sont des mots qui expriment tous la même idée, mais avec certaines nuances, certaines modifications qui les distinguent, certaines idées particulières qui conviennent à chacun d’eux et qu’il importe de bien remarquer.
Le remède à ce mal est cependant très-simple ; il suffit que le maître veuille l’appliquer, car il faut convenir que, dans ce cas, le vrai, le seul coupable, c’est le professeur. […] De cette condition essentielle dépend tout le reste, si bien que cette règle dispenserait presque des autres ; en effet, l’émotion se communiquant à la voix. lui donnera le timbre, les inflexions et l’accent qui conviennent au sujet. […] L’important est de donner à chaque mot la valeur qui lui convient ; c’est dans ce choix que consiste tout l’art de prononcer. […] Il disait que ce n’étaient pas les gouvernements qu’il servait, mais le pays, sous la forme politique qui, dans le moment, lui semblait convenir le mieux ; et qu’il n’avait jamais voulu sacrifier l’intérêt de la France à l’intérêt d’un pouvoir. […] Mais tous ces brillants (et je ne parle pas des faux brillants) ne conviennent point ou conviennent fort rarement à un ouvrage sérieux, et qui doit intéresser.
Mais s’il convient de soigner ses lettres, il n’y faut apporter ni recherche ni affectation ; la vérité, la simplicité, le naturel, voilà les qualités essentielles du style épistolaire, Point de grandes phrases, point de périodes arrondies, point de mouvements déclamatoires ; laissez-vous guider par la vivacité de l’esprit, et surtout par celle du cœur. […] * Madame de Simiane à M*** Je voudrais bien trouver, Monsieur, quelque façon de vous témoigner ma reconnaissance, qui convint et qui fût assortie à toute celle que j’ai dans le cœur pour le bien que vous venez de faire au pauvre petit Bernard. […] Si vous pouvez charger l’honnête savoyard que vous nous avez déjà envoyé ici à cinquante sous par jour, et que nous récompenserons encore outre le prix convenu, de cette montre à répétition, vous l’expédierez tout de suite, et vous ferez là une affaire dont je serai satisfait.
Votre idéal conviendrait peut-être à un groupe de philosophes réunis sous les ombrages de l’Académie ; mais un peuple à qui on proposerait des hommes d’État sortis de votre école vous dirait : — J’aime encore mieux périr de mon mal que des remèdes de vos médecins18. […] Quand il a trié celles qui semblent le mieux convenir à son sujet, aux circonstances du procès, au caractère du client, aux dispositions des juges, il entre dans le développement. […] Donc connaître les traits distinctifs de l’éloquence, c’est connaître la couleur qui lui convient.
Tous ses personnages, réduits à des proportions plus humaines et plus naturelles que chez Corneille, ont un caractère et un ton différents, et toujours celui qui leur convient : tous ses rôles sont variés et plein de nuances délicates. […] Surtout aucun dramatique n’a mieux su faire toujours tenir à ses personnages le langage qui convient à leur éducation, à leur caractère, à leur sexe et à leur rang. […] Monsieur convient de tout, du tort de sa mémoire, Du notaire mandé, du testament écrit. […] Un critique de nos jours a pu dire que La Fontaine est le seul qui nous ait donné le vers qui nous convient, « toujours divers, toujours nouveau », long, puis court, puis entre les deux, avec vingt sortes de rimes redoublées, entrecroisées, reculées, rapprochées, tantôt solennelles comme un hymne, tantôt folâtres comme une chanson. […] dans son premier transport S’écria le farouche maître, Mon grand verre est brisé, mon verre de Francfort, Pour boire mon sorbet qui convenait si fort, Si bien gravé, si rare !
Les tours recherchés, les expressions ambitieuses, les pensées brillantes, conviennent plus à un rhéteur qui veut attirer sur lui une partie de l’attention due seulement au sujet. […] On a fait, on fait aujourd’hui surtout, un grand nombre d’Abrégés d’histoire sous ce nom ou sous ceux d’Épitome, de Résumé, de Précis, etc. ; et il faut convenir qu’ils ont leur utilité lorsqu’ils sont bien faits.
Le langage si simple de cette méditation convient à l’austérité du sujet. […] — Découvrir la poitrine Convient à moy qui veux une blanche doctrine.
Au reste, l’art du dialogue peut convenir à tous les sujets, soit graves, soit badins, soit littéraires, soit scientifiques.
Vous prenez un ton d’autorité qui ne vous conviendra jamais, quoi qu’il puisse vous arriver.
Le remède à ce mal est cependant très simple ; il suffit que le maître veuille l’appliquer, car il faut convenir que, dans ce cas, le vrai, le seul coupable, c’est le professeur. […] De cette condition essentielle dépend tout le reste, si bien que cette règle dispenserait presque des autres ; en effet, l’émotion se communiquant à la voix, lui donnera le timbre, les inflexions et l’accent qui conviennent au sujet. […] L’important est de donner à chaque mot la valeur qui lui convient ; c’est dans ce choix que consiste tout l’art de prononcer. […] Il convient aussi d’observer que les maires du palais et les comtes de Paris se placèrent dans le trône des rois à la faveur des moyens qui leur avaient servi à s’insinuer dans leur esprit, c’est-à-dire par l’affaiblissement et par le changement des lois de l’État. […] Véritablement il y avait quelque difficulté à les développer : où l’un trouvait un sens moral, l’autre en trouvait un physique ; mais, après cela, ils convenaient que vous aviez tout su et tout dit à qui le comprenait bien.
La prolepse était la figure favorite de Massillon, et l’une de celles qui convenaient le mieux peut-être au caractère de son talent, et au genre de déclamation qu’il avait adopté.
Si la suspension de l’hémistiche n’est pas observée ici, c’est pour produire un effet : il convient d’ailleurs d’user sobrement de cette licence — On se rappellera d’ailleurs que, pour les procédés de la versification comme pour la pensée, A.
Nous ne noterons pas toutes les remarques qu’il conviendrait de faire sur le détail du style, sur son originalité parfois un peu cavalière ou téméraire.
On peut cependant lui reprocher parfois un tour paradoxal, trop d’irrévérence pour les opinions consacrées, du scepticisme, et une sécheresse qui se refuse l’éclat de la couleur, par scrupule de conscience érudite, par aversion pour la tirade, la phrase, et tout ce qui paraît artificiel ou convenu.
Convenez-en, Monsieur, s’il est bon que les grands génies instruisent les hommes, il faut que le vulgaire reçoive leurs instructions ; mais si chacun se mêle d’en donner, qui les voudra recevoir ? […] Le parti que j’ai pris d’écrire et de me cacher est précisément celui qui me convenait.
Ce texte, qui convient à tous les états, à tous les événements de notre vie, par une raison particulière devient propre à mon lamentable sujet, puisque jamais les vanités de la terre n’ont été si clairement découvertes, et si hautement confondues.
Il est rare que dans l’assemblée un orateur puisse prévoir le tour que prendra la discussion, les adversaires qu’il aura à combattre, les arguments, les opinions qu’il faudra réfuter ; un discours préparé d’avance ne trouve pas toujours la place ni l’à-propos qui lui convient.
Véritablement il y avait quelque difficulté à les développer : où l’un trouvait un sens moral, l’autre en trouvait un physique ; mais, après cela, ils convenaient que vous aviez tout su et tout dit à qui le comprenait bien1.
L’enthousiasme et les arts 3 Les hommes sans enthousiasme croient goûter des jouissances par les arts ; ils aiment l’élégance du luxe, ils veulent se connaître en musique et en peinture, afin d’en parler avec grâce, avec goût, et même avec ce ton de supériorité qui convient à l’homme du monde, lorsqu’il s’agit de l’imagination ou de la nature ; mais tous ces arides plaisirs, que sont-ils à côté du véritable enthousiasme ?
C’est cette qualité, appliquée aux grands objets de l’histoire, qui, à mon avis, convient essentiellement au narrateur, et qui, lorsqu’elle existe, amène bientôt à sa suite toutes les autres, pourvu qu’au don de la nature on joigne l’expérience, née de la pratique.
C’est par la lecture, dit Quintilien, que nous apprenons le sens et la valeur des mots, et la place qu’il convient de leur donner… La lecture sérieuse et souvent répétée grave les choses dans la mémoire, et en rend l’imitation facile.
Si quelques morceaux paraissent, au premier abord, placés hors de la série qui leur convient, nous répondrons, d’un côté, qu’il est bon de surprendre quelquefois les jeunes gens par des difficultés qui les retrempent, qui les exaltent, qui les prémunissent contre une indolente sécurité : de l’autre, qu’il est juste de ménager, de loin en loin, par un travail plus facile, des moments de repos à l’intelligence, qui ne doit pas être tendue par de continuels efforts.
Souvent aussi, sans déployer tant d’adresse, on débute d’un ton grave et simple tout à la fois : ce sont les exordes qui conviennent le mieux aux sujets élevés. […] Buffon est particulièrement remarquable sous ce rapport ; il est bien rare de trouver, dans ses ouvrages, un terme vague ou un mot négligemment placé pour un autre ; sa pensée, toujours juste en elle-même, est toujours rendue par l’expression qui lui convient. […] Piteusement n’est pas une figure, mais ne devait pas non plus entrer dans une tragédie : il ne convient pas au style soutenu. […] Ce genre de style convient surtout aux réflexions morales, aux sentences, qui se retiennent d’autant mieux qu’elles sont plus courtes. […] Nous devons convenir d’abord que les idées, étant le résultat de la mémoire, de l’expérience et de la réflexion, appartiennent surtout à un âge où l’esprit, ayant vu plus d’objets, a pu en retenir davantage, et où de sérieuses méditations ont corrigé sa légèreté naturelle.
Tout cela, il faut en convenir, est d’un déclamateur de mauvais goût.
Mais on conviendra cependant que leur patriotisme en vaut bien un autre, et l’on croit sans peine à leur sincérité, quand ils s’écrient, comme Cicéron, à la fin du plaidoyer que nous analysons : 88« Amemus patriam, pareamus senatui, consulamus bonis : præsentes fructus negligamus, posteritatis gloriæ serviamus : id esse optimum putemus, quod erit rectissimum : speremus quæ voluuius, sed quod acciderit feramus : cogitemus denique, corpus virorum fortium magnorumque hominum esse mortale : animi verò motus, et virtutis gloriam sempiternam : neque hanc opinionem si in illo sanctissimo Hercule consecratam videmus, cujus corpore ambusto, vitam ejus et virtutem immortalitas excepisse dicitur, minùs existimemus, eos, qui hanc tantam reinpublicam suis consiliis aut laboribus aut auxerint, aut defenderint, aut servarint, esse immortalem gloriam consecutos ».
Dans les sociétés civilisées, ce style est plus familier aux diverses conditions, à mesure qu’elles s’éloignent moins de l’état sauvage, de ce que l’on est convenu d’appeler l’état de nature.
Le président en convenait ; mais il n’y avait pas de comparaison possible entre l’esprit et le bon sens.
Car le Christ a souffert et est mort de la seule manière qui pouvait convenir à un Dieu. […] Mais en vous parlant de sa mort et de ses souffrances, je ne crains pas d’avancer une proposition que vous traiteriez de paradoxe si les paroles de mon texte ne vous avaient disposés à l’écouter avec respect, et je prétends que Jésus-Christ a souffert et qu’il est mort en Dieu, c’est-à-dire d’une manière qui ne pouvait convenir qu’à un Dieu… La seule exposition des choses va vous en convaincre. […] Car si l’évidence du fait qui les obligea de convenir que Lazare mort, et enseveli depuis quatre jours, était incontestablement ressuscité, au lieu de les déterminer à croire en Jésus-Christ, leur fit prendre la résolution de le perdre, parce que ce n’était plus la raison, mais la passion, qui présidait à leurs conseils, peut-on juger que le voyant descendre de la croix ils eussent été de meilleure foi, et plus disposés à lui rendre la gloire qui lui était due ? […] J’en conviens ; mais c’est un vrai défaut, et l’un des plus difficiles à corriger. […] Par là ils recevaient rarement la guerre, mais la faisaient toujours dans le temps, de la manière et avec ceux qu’il leur convenait : et, de tant de peuples qu’ils attaquèrent, il y en a bien peu qui n’eussent souffert toutes sortes d’injures, si on avait voulu les laisser en paix.
Chil de Calais ont fait morir tant de mes hommes, que il convient chiaus morir ossi. » Adonc fist la noble royne d’Engleterre grant humilité, qui ploroit si fermement de pité que on ne le pooit soustenir. […] Ceux de Galais ont fait mourir tant de mes hommes qu’il convient que ceux-ci meurent aussi. » Alors la noble reine d’Angleterre, qui pleurait si tendrement de pitié qu’on ne pouvait la soutenir, fit une grande humilité. […] Le marquis le salua fort humblement, comme il convenait, et après l’avoir fait souvenir de l’amitié qu’ils avaient eue autrefois ensemble, lui voulut dire le compliment de congé788, ne trouvant pas qu’il fût à propos, dans la conjoncture des affaires, de converser longtemps avec un homme de sa profession. […] Vainement portait-il le plus beau point869, la perruque la plus vaste et la mieux poudrée qu’on pût voir : son habit, d’ailleurs magnifique, ne convenait point à la fête. […] Termes, qui s’attendait bien à le voir rompre dans peu de temps, n’était en peine que de la manière : savoir891 si son maître l’attaquerait par un torrent d’injures mêlées de certaines épithètes qui pouvaient lui convenir ; ou si, se servant de quelque outrageante ironie, l’on emploierait toutes les louanges qui seraient les plus capables de le confondre.
Un manteau de laine convient pour toute saison de l’année. — 5. Le terroir qui convient à la vigne est bon également pour les arbres. — 6. […] L’insolence ne convient pas aux malheureux. — 13. La paix convient aux hommes, la colère aux bêtes farouches. — 14. […] Un grand cœur convient à une grande fortune. — 17.
La plaintive élégie, en longs habits de deuil, Sait, les cheveux épars, gémir sur un cercueil ; Elle peint, des amants, la joie et la tristesse Cependant la tristesse lui convient mieux que la joie ; et son véritable caractère est celui d’une douce mélancolie. […] Quels sont les sentiments qui conviennent à l’élégie ?
Mais les trois orateurs, par là même qu’ils étaient de grands capitaines, étaient de profonds rhétoriciens ; le génie, auquel ils devaient le secret du commandement et de la victoire, leur donnait aussi celui du langage qui convient et qui persuade.
« Dans le discours, dit Pascal, il ne faut point détourner l’esprit d’une chose à une autre, si ce n’est pour le délasser, mais dans le temps où cela est à propos et non autrement ; car qui veut délasser hors de propos, lassc. » Que vos digressions sortent naturellement du fond même de l’écrit et semblent lui être nécessaires ; que jamais elles ne fassent naître dans l’esprit une série d’idées étrangères, à plus forte raison, d’idées contraires au sujet ; enfin qu’elles soient placées au lieu qui leur convient le mieux, qui les appelle en quelque sorte ; qu’elles se rattachent à ce qui précède et ramènent ce qui doit suivre par des transitions faciles et naturelles.
j’en suis fort aise ; La cigale veut emprunter et s’engage à rembourser exactement et avec intérêt au terme dont on conviendra.
Pour rendre plus efficaces les leçons que comporte cette méthode, il convenait d’avertir l’attention du lecteur par des commentaires qui provoqueront ses propres réflexions. […] » Ne soyons donc pas, comme le disait Voltaire, « semblables à ces avares qui ne veulent point convenir de « leurs richesses, et crient sans cesse que les temps sont bien durs. » Sachons plutôt concilier le culte du passé avec la justice due au présent qui sera le patrimoine de l’avenir. […] Plus tôt on verra le froid et le chaud cesser de se faire la guerre, que les philosophes convenir entre eux de la vérité de leurs dogmes. « Nous nous semblons insensés les uns aux autres, » disait autrefois saint Jérôme527. […] Elle est maigre comme il convient à son âge ; sa bouche fort vermeille, les lèvres grosses, les dents blanches, longues et mal rangées ; les mains bien faites, mais de la couleur de son âge. […] Les uns et les autres conviennent qu’il s’agit d’un jeune prince éblouissant, qui promettait beaucoup, et dont toutes les espérances ont été trompeuses837.
Plus œquo liber, plus libre qu’il ne convient. […] XXIII Gravis et levis, en matière de mal et de crime, conviennent mieux que magnus et parvus ; de même graviter et leviter, au lieu de multùm et parùm. […] Il convient que la patrie nous soit plus chère que nous-mêmes.
De pareils chefs-d’œuvre sont rares, il en faut convenir ; et ceux qui, après les jours de la décadence et le triomphe du faux goût, ont le mérite du moins de sentir celui des autres, et de s’apercevoir que ce sont là les modèles qu’il faut se proposer, forment une nouvelle classe, une espèce de second ordre en littérature, qu’on n’étudie pas sans fruit, après avoir admiré le premier.
Il y touche de si près qu’il ne convient guère qu’aux églogues, aux descriptions champêtres des saisons, des jardins, à certaines pièces de pur agrément.