Allusion à l’aigle qui figure dans les armes et sur les drapeaux de l’Autriche. — L’aigle est ici personnifié ; ce qui explique l’emploi du genre masculin : car ce substantif doit être toujours considéré comme féminin lorsqu’il se prend dans le sens d’armoiries ou d’enseignes de guerre.
Il l’appelle le sage Enay, et sous cette honnête figure nous reconnaissons Duplessis-Mornay.
Les fragments, les petites pièces inachevées surtout, semblables à des ébauches de bas-reliefs avec des figures presque terminées et d’autres seulement dégrossies par le ciseau, donnèrent d’excellentes leçons en laissant voir à nu le travail et l’art du poëte.
Le naturel Il y a un air qui convient à la figure, et aux talents de chaque personne ; on perd toujours, quand on le quitte pour en prendre un autre. […] La première est de concevoir, par le moyen des universaux ; la seconde, de bien juger par le moyen des catégories, et la troisième de bien tirer une conséquence, par le moyen des figures : Barbara, celarent, Darii, ferio baralipton, etc. […] Quelque condition qu’on se figure, si l’on assemble tous les biens qui peuvent nous appartenir, la royauté est le plus beau poste du monde ; et cependant, qu’on s’imagine un roi accompagné de toutes les satisfactions qui peuvent le toucher, s’il est sans divertissement et qu’on le laisse considérer et faire réflexion sur ce qu’il est, cette félicité languissante ne le soutiendra point, il tombera par nécessité dans les vues qui le menacent 303 des révoltes qui peuvent arriver, et enfin de la mort et des maladies qui sont inévitables ; de sorte que s’il est sans ce qu’on appelle divertissement, le voilà malheureux, et plus malheureux que le moindre de ses sujets qui joue et qui se divertit. […] La médaille et son revers D’un côté, cette médaille qui est fort grande, représente un enfant d’une figure très-belle et très-noble ; on voit Pallas qui le couvre de son égide : en même temps les trois Grâces830 sèment son chemin de fleurs ; Apollon, suivi des Muses, lui offre sa lyre ; Vénus831 parait en l’air dans son char attelé de colombes, qui832 laisse tomber sur lui sa ceinture ; la victoire lui montre d’une main un char de triomphe, et de l’autre lui présente une couronne.
On peint les faits : par exemple, le combat des Horaces et des Curiaces ; mais alors on évite les figures oratoires et véhémentes, parce que ces figures sont faites pour exprimer les passions.
Deux excès sont à éviter dans le style épistolaire : le trop d’art, c’est-à-dire les pensées affectées, les mots sonores, les figures éclatantes, les périodes nombreuses, les tours pompeux ou alambiqués ; et le trop de négligence, c’est-à-dire les termes impropres, les phrases triviales ou mal construites, les pensées sans valeur, et en, général tout ce qui ne serait pas bien reçu dans la conversation de la bonne compagnie.
Sa figure, dit Plutarque, était d’un rouge foncé, parsemée de taches blanche.
Il n’en est pas de même des sculptures de la villa Borghèse et de la villa Pamphili, qui présentent de tous côtés des figures semblables au Deiphobus3 de Virgile.
Le style vrai est cette façon de dire tellement d’accord avec la nature de la personne qui parle, la position où elle se trouve, le milieu où elle agit, les circonstances qui l’affectent, que le lecteur ne se figure pas la possibilité de penser ou de s’exprimer autrement, que rien n’indique la recherche, l’embarras, le parti pris d’adopter telle forme, de produire tel effet, de faire un sort, selon l’expression de Rivarol, il chaque mot et à chaque phrase.
Les grandes images, les figures hardies y sont à leur place ; une harmonie constante doit enchanter l’oreille et l’imagination ; enfin, la simplicité, jointe à la majesté sublime, doit faire de cet ouvrage le chef-d’œuvre de l’esprit humain13.
M. de Vigny semble ici dresser fièrement sur un socle de marbre la figure sereine, chaste et idéale de sa muse.
Au bout de quelques minutes, Colomba se leva, l’œil sec, mais la figure animée.
Certes, plus je médite, et moins je me figure Que vous m’osiez compter pour votre créature, Vous dont j’ai pu laisser vieillir l’ambition Dans les honneurs obscurs de quelque légion ; Et moi qui sur le trône ai suivi mes ancêtres, Moi, fille, femme, sœur et mère de vos maîtres ! […] J’y ai jeté, autant que j’ai pu, la magnificence des mots ; et, à l’exemple des anciens poètes dithyrambiques, j’y ai employé les figures les plus audacieuses, jusqu’à y faire un astre de la plume blanche que le roi porte ordinairement à son chapeau, et qui est, en effet, comme une espèce de comète fatale à nos ennemis, qui se jugent perdus dès qu’ils l’aperçoivent.
Les hommes, n’ayant d’abord que le geste pour se communiquer leurs idées, imitèrent la figure et le mouvement des objets qu’ils voulaient représenter.
Si je sortais, tout le monde se mettait aux fenêtres ; si j’étais aux Tuileries, je voyais aussitôt un cercle se former, autour de moi ; les femmes mêmes m’entouraient comme un arc-en-ciel nuancé de mille couleurs1 Si j’étais au spectacle, je trouvais d’abord cent lorgnettes dirigées vers ma figure ; enfin, jamais homme n’a tant été vu que moi.
. — Tout peintre, tout statuaire qui ne sait pas, dans toutes ses figures, faire resplendir une âme, ne produit rien qui soit vraiment beau.
Il ne laissait pas un seul enjolivement ni une seule afféterie au logis : en dix mots il voulait employer douze figures ; il enflait sa matière de lieux communs et de pièces cent fois rejouées.
Sa figure, comme vous savez, n’a rien de touchant ni d’agréable, mais n’a rien aussi1 de choquant : sa physionomie n’impose pas, et ne promet point, au premier coup d’œil, tout ce qu’il vaut ; mais on peut remarquer, dans ses yeux et sur son visage, je ne sais quoi dont l’expression répond de son esprit et de sa probité.
Chacun d’eux a sa qualité particulière et saillante ; tel raconte avec une abondance qui entraîne, tel autre, sans suite, va par saillies et par bonds, mais en passant, il trace en quelques traits des figures qui ne s’effacent jamais de la mémoire des hommes ; tel autre enfin, moins abondant ou moins habile à peindre, mais plus calme, plus discret, pénètre d’un œil auquel rien n’échappe dans la profondeur des événements humains, et les éclaire d’une éternelle clarté.
Alors le voile tombe ; alors, de toutes parts, Je vois des dieux vengeurs la figure effrayante ; J’entends tonner les coups de leur main foudroyante, Tout tombe : je crois voir, de son faîte orgueilleux, Ilion tout entier s’écrouler dans les feux. […] Les cavaliers francs, en face de la cavalerie romaine, couvraient les deux côtés de leur infanterie : à leurs casques en forme de gueules ouvertes, ombragés de deux ailes de vautour, à leurs corselets de fer, à leurs boucliers blancs, on les eût pris pour des fantômes ou pour ces figures bizarres que l’on aperçoit au milieu des nuages pendant une tempête. […] La fille croit que Dieu fait pour eux un miracle : « Ce n’est point monseigneur, c’est un ange des cieux, Qui sous ses traits chéris se présente à nos yeux ; Pour nous faire plaisir il a pris sa figure ; Aussi je n’ai pas peur… Oh ! […] Souffrir et patienter sont souvent leurs seules ressources, et cette peine intérieure trace sa triste empreinte jusque sur leur figure, et ne leur laisse aucune des grâces dont la nature anime tous les êtres heureux. […] Ainsi, le vrai a besoin d’emprunter la figure du faux pour être agréablement reçu dans l’esprit humain : mais le faux y entre bien sous sa propre figure ; car c’est le lieu de sa naissance et sa demeure ordinaire, et le vrai y est étranger.
Il faut d’abord qu’il relève tout ce qu’il dit par la beauté de l’élocution, c’est-à-dire, par le choix des épithètes, l’emploi des termes métaphoriques, l’harmonie et la vivacité des tours, la hardiesse et l’éclat des figures, en un mot par tout ce que le style poétique a d’attrayant et d’enchanteur. […] doit sans manquer en aucune manière à l’exactitude et à la précision, les orner de toutes les images, de toutes les comparaisons, de toutes les figures dont il est susceptible. […] Ainsi tout ce qui est un effet visible de l’art et du travail, ces figures oratoires, ces riches comparaisons pompeusement étalées, ces élans lyriques fruit d’une imagination échauffée, sont totalement bannis dès pièces de théâtre, même de celles dont le sujet est grand et élevé. […] Les expressions doivent être vives et choisies, mais jamais pompeuses et magnifiques : point de grands mots, point de figures éclatantes et soutenues. […] Je me figure encor sa nourrice éperdue, Qui devant les bourreaux s’étoit jetée en vain, Et foible le tenoit renversé sur son sein.
L’Arabie Qu’on se figure un pays sans verdure et sans eau, un soleil brûlant, un ciel toujours sec, des plaines sablonneuses, des montagnes encore plus arides, sur lesquelles l’œil s’étend et le regard se perd, sans pouvoir s’arrêter sur aucun objet vivant ; une terre morte, et pour ainsi dire écorchée par les vents, laquelle ne présente que des ossements, des cailloux jonchés, des rochers debout ou renversés, ou le voyageur n’a jamais respiré sous l’ombrage, où rien ne l’accompagne, rien ne lui rappelle la nature vivante. […] Les raisons doivent s’orner, se déguiser, se varier par une infinité de tours et de figures, de sorte qu’ils n’aient rien qui sente la contrainte de l’art.
Cet homme, qui avait des ordres particuliers contre quelques gentilshommes de sa province, ne s’en fia pas d’abord à la réponse qu’on lui avait faite, et, comme c’est une vertu de prévôt de n’être pas trop crédule, il eut la curiosité de voir si ce n’était point quelque fugitif déguisé, et, ayant tiré le rideau, il aperçut une terrible dame, dont la figure lui aurait fait peur, si elle n’eût été de sa connaissance. […] Si j’étais aux spectacles, je trouvais d’abord cent lorgnettes dressées contre ma figure ; enfin, jamais homme n’a tant été vu que moi. […] Elle avait beaucoup d’esprit, faisait même des vers dans sa langue, écrivait et parlait bien : une figure agréable relevait encore tant de talents ; son ambition seule les ternit. […] C’est la comparaison qui le dégrade : on le regarde, on le juge, non pas en lui-même, mais relativement au cheval ; on oublie qu’il est âne, qu’il a toutes les qualités de sa nature, tous les dons attachés à son espèce, et on ne pense qu’à la figure et aux qualités du cheval, qui lui manquent et qu’il ne doit pas avoir. […] Qu’on se figure un pays sans verdure et sans eau, un soleil brûlant, un ciel toujours sec, des plaines sablonneuses, des montagnes encore plus arides, sur lesquelles l’œil s’étend et le regard se perd sans pouvoir s’arrêter sur aucun objet vivant ; une terre morte et, pour ainsi dire, écorchée par les vents, laquelle ne présente que des ossements, des cailloux jonchés, des rochers debout ou renversés, un désert entièrement découvert, où le voyageur n’a jamais respiré sous l’ombrage, où rien ne l’accompagne, rien ne lui rappelle la nature vivante : solitude absolue, mille fois plus affreuse que celle des forêts ; car les arbres sont encore des êtres pour l’homme qui se voit seul ; plus isolé, plus dénué, plus perdu dans ces lieux vides et sans bornes, il voit partout l’espace comme son tombeau ; la lumière du jour, plus triste que l’ombre de la nuit1152, ne renaît que pour éclairer sa nudité, son impuissance, et pour lui présenter l’horreur de sa situation, en reculant à ses yeux les barrières du vide, en étendant autour de lui l’abîme de l’immensité qui le sépare de la terre habitée : immensité qu’il tenterait en vain de parcourir ; car la faim, la soif et la chaleur brûlante pressent1153 tous les instants qui lui restent entre le désespoir et la mort.
Au bruit de Neptune en furie, est une de ces tournures heureuses, dit La Harpe de ces figures de diction qui donnent au style la véritable élégance poétique.
Il est trop vivement touché des intérêts de sa patrie pour s’amuser à tous les jeux d’esprit d’Isocrate ; c’est un raisonnement serré et pressant, ce sont les sentiments généreux d’une âme qui ne conçoit rien que de grand, c’est un discours qui croît et qui se fortifie à chaque parole par des raisons nouvelles, c’est un enchaînement de figures hardies et touchantes : vous ne sauriez le lire sans voir qu’il porte la république dans le fond de son cœur ; c’est la nature qui parle elle-même dans ses transports ; l’art est si achevé, qu’il n’y paraît point ; rien n’égala jamais sa rapidité et sa véhémence2.
On soupçonne aisément, a sa triste figure, Qu’il cherche en vain quelqu’un qui prête à triple usure.
A nos yeux attentifs que le spectacle change : Retournons sur la terre, où jusque dans la fange L’insecte nous appelle, et, certain de son prix, Ose nous demander raison de nos mépris2… De l’empire de l’air cet habitant volage, Qui porte à tant de fleurs son inconstant hommage Et leur ravit un suc qui n’était pas pour lui, Chez ses frères rampants qu’il méprise aujourd’hui, Sur la terre autrefois traînant sa vie obscure, Semblait vouloir cacher sa honteuse figure.
Figure à quatre angles égaux, ayant deux angles aigus et deux angles obtus.
Quand cet homme était à la tribune dans la fonction de son génie, sa figure devenait splendide et tout s’évanouissait devant elle. » (Littérature et philosophie, p. 110, Hachette et Cie.)
Je lui conseillerais, s’il veut mettre fin à cette étrange aventure, de prendre à peu près son modèle sur la petite figure en porcelaine de Sèvres. […] Je ferais vraiment une belle figure au milieu des fêtes de Vos Altesses Électorales !
Et il ajoute : « Les traits d’esprit isolés sont comme ces corps de figure ronde qui ne peuvent jamais, quelque effort qu’on fasse, s’emboîter parfaitement et cadrer avec précision, illa rolunda et undique circumcisa insistere invicem nequeunt. » Je suis loin assurément de proscrire les pensées détachées, les maximes, ce que les Grecs appelaient apophthegmes, enthymèmes, épiphonèmes, et les Latins sententiœ.
Comme il s’agit à ce moment décisif de frapper les derniers coups, comme l’auditeur s’est échauffé à votre feu, identifié avec vos sentiments, tout alors vous est permis, tours animés, expressions énergiques, figures brillantes et hardies, hypotyposes, prosopopées, invocation de la nature entière, animée ou inanimée, en un mot, tout ce que la passion brûlante, impétueuse, peut vous fournir pour enfoncer le trait dans les âmes, pour faire jouer les deux grands ressorts tragiques, la terreur et la pitié.
. — C’est le style, ce sont les figures, c’est, en un mot l’élocution dont nous allons parler avec étendue, parce que c’est, à proprement parler, toute la rhétorique de la jeunesse.
Péroraison de l’Éloge funèbre du Prince de Condé Jetez les yeux de toutes parts ; voilà tout ce qu’a pu la magnificence et la piété pour honorer un héros : des titres, des inscriptions, vaines marques de ce qui n’est plus ; des figures qui semblent pleurer autour d’un tombeau, et de fragiles images d’une douleur que le temps emporte avec tout le reste ; des colonnes qui semblent vouloir porter jusqu’au ciel le magnifique témoignage de notre néant ; et rien enfin ne manque dans tous ces honneurs que celui à qui on les rend.
Les âges se renouvellent, la figure du monde passe sans cesse, les morts et les vivants se remplacent et se succèdent continuellement ; tout change, tout s’use, tout s’éteint.
Passant des cellules de Port-Royal aux salons de la Fronde, il devint presque le contemporain chevaleresque des grandes dames qui posèrent devant sa toile, entre les figures imposantes des deux ministres dont la grandeur se mêla aux intrigues d’une cour romanesque.
Le langage même du peuple a sa grâce et son élégance, comme il a sa bassesse et sa grossièreté ; il a ses tours ingénieux et vifs, ses expressions pittoresques, ses figures éloquentes. […] Les termes doivent être vifs et choisis, mais sans pompe et sans éclat ; point de grands mots, point de figures éclatantes et soutenues. […] Cette sorte de pièce amuse par la ressemblance des figures avec les personnages qui se rencontrent dans le monde.
C’est ce qu’on nomme les figures.
Ce qui le caractérise principalement, ce sont les pensées brillantes, les belles images, l’éclat des figures, l’agrément des digressions, la variété des tours, cette cadence nombreuse et périodique, cette harmonie de style qui charme l’oreille, et jette l’esprit dans une espèce d’enchantement.
Plus souvent aujourd’hui j’habite les campagnes, Où je figure noblement, Et j’en fais, à coup sûr, le plus bel ornement.
L’équivoque caractérise donc l’énigme : elle y donne le change au lecteur qui d’ailleurs doit s’y attendre ; la métaphore et l’antithèse sont les principales figures propres à ce genre de poésie, qui demande la brièveté, la justesse et la précision.
La hautaine et martiale figure du vieux poète, qui, encadrée dans une fraise antique, se voit en tête de son petit recueil, semble régenter la poésie et maintenir dans le devoir les six disciples. […] Becq de Fouquières, nous montre la chevaleresque et haute mine, devait faire bonne figure dans cette Académie de musique et de poésie, autorisée par lettres-patentes de Charles IX (1570), qu’il fonda, établit et présida pendant vingt ans dans sa maison de Saint-Victor, et que visitait Henri III. — Il publia (1873) ses œuvres en quatre volumes. […] Ronsard est païen, Desportes est Italien : il est biblique, au moins par ses sujets, car la mythologie y fait souvent une singulière figure. […] Le procès ne doit rien aux changes de Protee512 ; Vous le pensez civil, il devient criminel ; Vous l’estimez fini, le voilà eternel… Desportes (1546-1606) Notice Philippe Desportes, né à Chartres, d’abord clerc de procureur, puis abbé, et abbé successivement et grassement pourvu, fit bonne figure à la cour des Valois par ses poésies galantes, fort goûtées du brillant entourage de Charles IX et de Henri III, fort applaudies de Ronsard et de Baïf. […] XIII), grand’mère de Tartuffe le justifie, et c’est A. de Musset qui l’établit, après Boileau (« Régnier, le poète français, qui, du consentement de tout le monde, a le mieux connu avant Molière les mœurs et les caractères des hommes » Réflex. critiq, sur Longin, Ve), et qui, donnant à la figure de Régnier deux traits qui conviennent à celle de Malherbe, affirme la parenté de Régnier, Malherbe et Molière, Sainte-Beuve y ajoute le nom un peu inattendu d’André Chénier.
Petit traité des figures, §§ 60, 61, p. 141 et 146. […] Voyez cette pièce tout entière dans le § 54 du Petit traité des figures et des formes du style.
Voyez La Clavicule ou la Science de Raymond Lulle, avec toutes les figures de rhétorique, par le sieur Jacob.