À sa base, l’odeur des fleurs de la prairie, le plan incliné du gazon, le bruit du ruisseau qui fuit sous le feuillage, le chant du rossignol, etc., tout délasse et récrée.
Cependant il n’a pas rougi de fuir devant les flammes que lançait Hector ; et moi, je les ai bravées, je les ai repoussées loin des vaisseaux !
…………………………… Tu fuis …………………… Comme le faon peureux de la biche sauvage, Qui va cherchant sa mère aux rochers écartés.
Fuyez de ces auteurs l’abondance stérile.
Rappelez-vous les reproches si doux de Didon à Enéc : Si bene quid de le merui, fuit aut tibi quidquam Dulce meum… ; le mot d’Iphigénie, quand Agamemnon veut l’obliger à renoncer à Achille : Dieux plus doux, vous n’aviez demandé que ma vie !
Mais quand Racine dit : Quel est ce glaive enfin qui marche devant eux ; quand Corneille crée l’expression que nous avons déjà remarquée : Et tous trois à l’envi s’empressaient ardemment A qui dévorerait ce règne d’un moment ; quand, d’autre part, des hommes de talent se laissent entraîner aux vicieuses métaphores que nous avons signalées plus haut, il est bien évident que ce ne sont plus là des figures de domaine public, dont on ne doit tenir aucun compte à l’écrivain ; elles appartiennent en propre à celui qui les a créées, et peuvent, en conséquence, être étudiées comme formes à imiter ou à fuir.
Ainsi fuit la gloire du monde, Et rien que Dieu n’est permanent ; et Maynard, n’ayant rien obtenu de la cour ou de Richelieu qu’il avait longtemps et vainement importuné de ses demandes, fit graver sur la porte de son cabinet, dans sa retraite d’Aurillac, ces vers philosophiques, imités de Martial : Las d’espérer et de me plaindre Des muses, des grands et du sort, C’est ici que j’attends la mort Sans la désirer ni la craindre.
Ma pièce n’est point un ouvrage équivoque ; il faut l’avouer ou la fuir.
Il fuit les extrêmes, et garde en toute question l’équilibre d’une modération conciliante.
Ainsi fuit la gloire du monde, Et rien que Dieu n’est permanent.
Ses attraits par le temps étaient un peu détruits ; Jeunes et vieux fuyaient sa vue : La pauvre Vérité restait là morfondue Sans trouver un asile où pouvoir habiter. […] Mais, vers la solitaire allée, Si mon amante échevelée Venait pleurer quand le jour fuit, Éveille par ton léger bruit Mon ombre un instant consolée. » Il dit… s’éloigne, et sans retour !
Les campagnes sont désertes, et leurs habitants épouvantés fuient dans les villes. […] Il fut donc tendu à monsieur de Bayard un beau pavillon pour se reposer ; et puis, ayant demeuré en cet estat deux ou trois heures, il mourut ; et les Espagnols enlevèrent son corps avec tous les honneurs du monde en l’église, et par l’espace de deux jours luy fut fait service très solennel ; et puis les Espagnols le rendirent à ses serviteurs qui l’emmenèrent en Dauphiné, à Grenoble ; et là, reçu par la pour de Parlement et une infinité de monde, qui l’allèrent recueillir et luy firent de beaux et grands services en la grande église de Nostre-Dame, et puis fui porté en terre à deux lieues de là, chez les Minimes.
« Sans doute, dit-il, celui qui se borne à dire qu’une ville a été prise embrasse dans ce seul mot toutes les horreurs que comporte un pareil sort ; mais il ne remue pas les entrailles, et a l’air d’annoncer purement et simplement une nouvelle : mais développez tout ce qui est renfermé dans ce mot, alors on verra les flammes qui dévorent les maisons et les temples ; alors on entendra le fracas des toits qui s’abîment, et une immense clameur formée de mille clameurs ; on verra les uns fuir à l’aventure, les autres étreindre leurs parents dans un dernier embrassement ; d’un côté, des femmes et des enfants qui gémissent, et de l’autre, des vieillards qui maudissent le sort qui a prolongé leur vie jusqu’à ce jour ; puis, le pillage des choses profanes et sacrées, les soldats courant en tout sens pour emporter ou pour chercher leur proie, chacun des voleurs poussant devant soi des troupeaux de prisonniers chargés de chaînes, des mères s’efforçant de retenir leurs enfants, enfin les vainqueurs eux-mêmes se battant entre eux à la moindre apparence d’un plus riche butin.
mais le làche s fui les feux d’Hector, Que mol j’si bravés seul, seul chassés de ce bord !
J’appellerai également riches ou fécondes ces phrases de Florus que loue Montesquieu : Florus nous représente en peu de paroles toutes les fautes d’Annibal : « Lorsqu’il pouvait, dit-il, se servir de la victoire, il aima mieux en jouir ; quum victoria posset uti, frui maluit. » Il nous donne une idée de toute la guerre de Macédoine, quand il dit : « Ce fut vaincre que d’y entrer ; introisse victoria fuit. » Il nous donne tout le spectacle de la vie de Scipion, quand il dit de sa jeunesse : « C’est le Scipion qui croît pour la destruction de l’Afrique ; hic crit Scipio qui in exitium Africæ crescit. » Vous croyez voir un enfant qui croit et s’élève comme un géant.
Le malheureux est pestiféré : tout s’éloigne de lui, tout le fuit avec une sorte d’horreur ; son chien est le seul être qui, dans la nature entière, se montre sensible à sa misère, l’en console par ses caresses, et l’adoucisse en la partageant.
Ainsi, lorsque des monts séparés par Alcide Les aquilons fougueux fondent d’un vol rapide, Soudain les flots émus de deux profondes mers D’un choc impétueux s’élancent dans les airs : La terre au loin gémit, le jour fuit, le ciel gronde, Et l’Africain tremblant craint la chute du monde2.
les soucis et tracas qui me font fuir les projets à exécuter.
Sa langue, vive, franche, nette, vigoureuse, hardie, énergique, pittoresque, indépendante, vraiment nationale, ne rappelle point la sagesse économe et sobre de Boileau, si patient à attendre, au coin d’un bois, la rime, ou le mot qui l’avait fui.
Faites donc comme cet homme, tirez les mêmes conséquences, et songez que cette même ville a été autrefois baignée du sang d’un nombre infini de martyrs ; qu’aux premiers siècles toutes les intrigues du conclave se terminaient à choisir entre les prêtres celui qui paraissait avoir le plus de zèle et de force pour soutenir le martyre ; qu’il y eut trente-sept papes qui le souffrirent l’un après l’autre, sans que la certitude de cette fin leur fît fuir ni refuser cette place où la mort était attachée, et quelle mort !
Socrates fuit is qui, omnium eruditorum testimonio, totiusque judicio Grœciœ, quumprudentia, et acumine, et renustnte, et subtilitate, tum vero eloquentia, varietate, copia, quam se cumque in partent dedisset, omnium fuit facile princeps. […] Surtout fuyons le verbiage De monsieur de Félibien, Qui noie éloquemment un rien Dans un fatras de beau langage. […] Ils regardaient l’élégance en tout genre comme une afféterie, comme une politesse recherchée, indigne de la gravité des premiers temps : Vitii, non laudis fuit, dit Aulu-Gelle. […] C’est cette même nature qui inspire quelquefois des débuts vifs et animés ; une forte passion, un danger pressant, appellent tout d’un coup l’imagination : ainsi un capitaine des premiers califes, voyant fuir les musulmans, s’écria : « Où courez-vous ? […] Pour moi, je suis plus fière et fuis la gloire aisée D’arracher un hommage à tant d’autres offert, Et d’entrer dans un cœur de toutes parts ouvert.
Je fuirais les passions.
Qui t’amène en des lieux où l’on fuit ta présence ; Voilà de ton amour le détestable fruit : Tu m’apportais, cruel, le malheur qui te suit.
C’est cette mesme raison que ie disois tantost, comme Martial de soy, minus illi ingenio laborandum fuit, in cuius locum materia successerat 135. […] Si vous en dites par mesgarde, et vous pouvez le corriger sur le champ par quelque explication ou reparation, corrigez-le : une excuse veritable a bien plus de grace et de force pour excuser que le mensonge… Le parler peu tant recommandé par les anciens sages ne s’entend pas qu’il faille dire peu de paroles, mais de n’en dire pas beaucoup d’inutiles : car en matiere de parler on ne regarde pas à la quantité, mais à la qualité : et me semble qu’il faut fuir les deux extresmitez : car de faire trop l’entendu et le severe, refusant de contribuer aux devis familiers qui se font es conversations, il semble qu’il y ait ou manquement de confiance, ou quelque sorte de desdain ; de babiller aussi et cajoller tousjours, sans donner ny loisir ny commodité aux autres de parler à souhait, cela tient de l’esventé et du leger. […] Ces peuples si braves et si belliqueux, et que vous dites qui sont nés pour commander à tous les autres, fuient devant une armée, qu’ils disoient être composée de nos cochers et de nos laquais. […] Quelque terme où nous pensions nous attacher et nous affermir, il branle et nous quitte ; et, si nous le suivons, il échappe à nos prises, nous glisse et fuit d’une fuite éternelle. […] Notre raison est toujours déçue par l’inconstance des apparences ; rien ne peut fixer le fini entre les deux infinis qui l’enferment et le fuient.
Deuxième partie « Fuyez la mollesse, le faste, la profusion ; mettez votre gloire dans la simplicité ; que vos vertus et vos bonnes actions soient les ornements de votre personne et de votre palais ; qu’elles soient la garde qui vous environne, et que tout le monde apprenne de vous en quoi consiste le vrai honneur. […] S’il existe quelques débris de légions romaines chez nos ennemis, ils ne sont composés que de soldats novices, ou de troupes qui ont fui devant vous, et qui n’apportent avec eux dans un camp nouveau que la crainte et les alarmes. […] Des lâches, toujours prêts à jeter leurs armes pour fuir plus vite. […] Jetés sur des bâtiments réunis à la hâte, ils ont été livrés à la merci des tempêtes. « Qu’ils partent, disait-on, qu’ils fuient des terres désolées par leurs calomnies !
partons, fuyons vers la terre aimée de la patrie ; car jamais nous ne saurions prendre Ilion aux larges rues. » Ce discours était éloquent, trop éloquent même, car il dépassa le but que l’orateur voulait atteindre. […] Il ne cherche ni ne fuit le danger : il n’a recours à l’emploi de la force que quand il a épuisé toutes les ressources de la ruse.
… Lex orandi fuit Demosthenes, X, 1.
Hippolyte dit : Si je la haïssais, je ne la fuirais pas. […] Les habiles généraux, avant que d’engager une action, observent les débouchés par où l’ennemi peut fuir ; ils y placent une embuscade, afin de tomber à l’improviste sur les soldats qui se seraient sauvés du champ de bataille ; sans doute qu’à leur exemple, ces acquéreurs croient que des hommes tels que vous siégent ici pour saisir les victimes échappées de leurs mains. » (N°. 52.) […] fuyez-vous l’injustice ?
Mais toi, ta conscience criminelle te dit trop que cette haine universelle est méritée, que depuis longtemps elle t’est due ; et pourtant, ceux dont ton aspect blesse également l’esprit et les sens, tu hésites à fuir leurs regards et leur présence ? […] que tu songes à fuir ? […] Son projet était qu’au moment où le feu serait mis à tous les quartiers de la ville, conformément au plan et aux dispositions arrêtés d’avance, et où l’on massacrerait un nombre immense de citoyens, Catilina fût à portée d’arrêter ceux qui voudraient fuir, et d’opérer sa jonction avec les principaux affidés restés dans les murs. […] Rupilius, cette place fut occupée par des esclaves fugitifs, des barbares, des ennemis : mais ils n’étaient pas si esclaves de leurs maîtres que vous l’êtes de vos passions ; ils ne fuyaient pas tant leurs maîtres que vous fuyez l’équité et les lois : ils étaient moins barbares par leur langue et leur patrie que vous par votre caractère et par vos mœurs, moins ennemis des hommes que vous ne l’êtes des dieux immortels. […] Ils voguaient, comme Cléomène, vers Élore, moins pour fuir les insultes des corsaires que pour suivre leur général.
Boileau lui-même n’a-t-il pas dit : Ce n’est pas quelquefois qu’une muse un peu fine Sur un mot, en passant, ne joue et ne badine, Et d’un sens détourné n’abuse avec succès : Mais fuyez sur ce point un ridicule excès… ?
Ainsi, quand tu fonds sur mon âme, Enthousiasme, aigle vainqueur, Au bruit de tes ailes de flamme, Je frémis d’une sainte horreur ; Je me débats sous ta puissance, Je fuis, je crains que ta présence N’anéantisse un cœur mortel, Comme un feu que la foudre allume, Qui ne s’éteint plus, et consume Le bûcher, le temple et l’autel.
La campagne a perdu tous ses charmes ; je la fuis ; je retourne à la ville, où je braverai les rigueurs de l’hiver au sein de l’étude et de l’amitié. […] Dix ans plus tard, cette dame généreuse, après avoir été obligée de fuir et avoir perdu toute sa fortune, rentre en France dénuée de toute ressource. […] Guise lui-même se précipite dans la chambre de Crillon, lui dit que les Espagnols, au nombre de cinquante mille, viennent de s’emparer de Marseille ; qu’il reste à peine aux deux généraux le temps de sauver leurs personnes ; qu’il faut fuir sur-le-champ s’il ne veut pas être pris. […] Ils fuyaient à travers des lieux déserts et affreux. […] Le jeune homme pouvait fuir : il n’y songe même pas ; il résiste à son ennemi ; il le tue, et, plein de joie, apporte ses dépouilles à son père.
Acomat dit à Roxane, pour la décider à la révolte contre Amurat : Déclarons-nous, madame, et rompons le silence : Fermons-lui, dès ce jour, les portes de Byzance ; Et, sans nous informer s’il triomphe ou s’il fuit, Croyez-moi, hâtons-nous d’en prévenir le bruit. S’il fuit, que craignez-vous ? […] — Boileau la dépeint en vers excellents, où l’exemple s’allie au précepte : Il est un heureux choix de mots harmonieux : Fuyez des mauvais sons le concours odieux. […] On ne voit point le peuple à mon nom s’alarmer, Le ciel dans tous leurs pleurs ne m’entend point nommer, Leur sombre inimitié ne fuit point mon visage.
» Il y aurait eu de la folie, sans doute, à prendre les armes, si, heureux d’ailleurs, le choix eût dépendu de vous ; mais, s’il ne vous restait qu’un parti à prendre, celui de céder et d’obéir, ou de combattre et de triompher de l’injustice, ne serait-on pas plus blâmable d’avoir fui le péril, que de l’avoir bravé ?
Dieu voit tout Les méchants ont beau se cacher : la lumière de Dieu les suit partout, son bras va les atteindre jusqu’au haut des cieux, et jusqu’au fond des abîmes. « Où irai-je devant votre esprit et où fuirai-je devant votre face ?
Commence-t-il à chanceler dans le poste où on l’avait mis, tout le monde passe facilement à un autre avis ; en est-il entièrement déchu, les machines qui l’avaient guindé si haut, par l’applaudissement et les éloges, sont encore toutes dressées pour le faire tomber dans le dernier mépris ; je veux dire qu’il n’y en a point qui le dédaignent mieux, qui le blâment plus aigrement, et qui en disent plus de mal, que ceux qui s’étaient comme dévoués à la fureur1 d’en dire du bien2 Pamphile ou le vaniteux Un Pamphile est plein de lui-même, ne se perd pas de vue, ne sort point de l’idée de sa grandeur, de ses alliances, de sa charge, de sa dignité : il ramasse, pour ainsi dire, toutes ses pièces, s’en enveloppe3 pour se faire valoir ; il dit : Mon ordre, mon cordon bleu 4 ; il l’étale ou il le cache par ostentation : un Pamphile, en un mot, veut être grand ; il croit l’être, il ne l’est pas, il est d’après un grand1 Si quelquefois il sourit à un homme du dernier ordre, à un homme d’esprit, il choisit son temps si juste qu’il n’est jamais pris sur le fait ; aussi la rougeur lui monterait-elle au visage s’il était malheureusement surpris dans la moindre familiarité avec quelqu’un qui n’est ni opulent, ni puissant, ni ami d’un ministre, ni son allié, ni son domestique2 Il est sévère et inexorable à qui n’a point encore fait sa fortune : il vous aperçoit un jour dans une galerie, et il vous fuit ; et le lendemain, s’il vous trouve en un endroit moins public, ou, s’il est public, en la compagnie d’un grand, il vient à vous, et il vous dit : Vous ne faisiez pas hier semblant de nous voir.
Mettez dans mon esprit ce charme et cette douceur que je sentais autrefois, et qui fuit loin de moi.
Surtout j’ai une extrême satisfaction à lire avec une personne d’esprit ; car, de cette sorte, on réfléchit à tout moment sur ce qu’on lit, et des réflexions que l’on fuit il se forme une conversation la plus agréable du monde et la plus utile. […] Nicole 1625-1695 Né à, Chartres, fils d’un avocat au Parlement, professeur de belles lettres à Port-Royal, associé aux traverses et aux épreuves de l’indomptable docteur janséniste, le grand Arnauld, dont il partagea l’exil, Pierre Nicole fut laborieux, résigné, pieux, soumis, indulgent, modeste, soucieux avant tout du repos et de la paix, aussi pressé de fuir la gloire que d’autres le sont de la rechercher. […] Dieu voit tout Les méchants ont beau se cacher : la lumière de Dieu les suit partout ; son bras va les atteindre jusqu’au haut des cieux, et jusqu’au fond des abîmes. « Où irai-je devant votre esprit et où fuirai-je devant votre face ?
An censes (ut de me ipso aliquid more senum glorier) me tantos labores diurnos, nocturnosque domi, militiæque suscepturum fuisse, si iisdem finibus gloriam meam, quibus vitam, essem terminaturus ?
Ainsi, nous apprendrons à fuir ce goût faux et frivole qui domine bientôt les gens inexpérimentés et les ignorants. […] Le roi des dieux s’assied sur le trône des airs : La terre tremble au loin sous son maître qui tonne ; Les animaux ont fui ; l’homme éperdu frissonne ; L’univers ébranlé s’épouvante. […] L’écriture a encore cet avantage sur la parole, que le lecteur qui a un ouvrage sous les yeux peut s’arrêter, et réfléchir sur le sens de l’écrivain ; il peut se reposer, revenir sur ce qu’il a lu, et comparer à loisir un passage avec un autre ; tandis que la voix nous échappe et fuit : il faut saisir les expressions à l’instant où elles sont prononcées, ou vous les perdez pour toujours. […] Nam, dit Quintilien, etiamsi librum ab homine scribi pateat, non certe hominem a libro, male tamen composuerat, feceratque ambiguum quantum in ipso fuit . […] Atqui, si res, si vir, si tempus ullum dignum fuit, certe hæc in illa causa summa omnia fuerunt.