Il n’y a pas deux voix différentes sur ce personnage ; l’envie, la jalousie, parlent comme l’adulation : tous se laissent entraîner au torrent qui les porte, qui les force de dire d’un homme ce qu’ils en pensent ou ce qu’ils n’en pensent pas, comme de louer souvent celui qu’ils ne connaissent point.
Puis je ne sentis plus ; mais j’entendis des voix Qui disaient : « Portez-les au tombeau de nos rois. » § 74.
Ou enfin lorsqu’elles seront fortes : Un renard qui cajole un corbeau sur sa voix.
On l’appelle souvent la Déesse aux cent voix.