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240. (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « SECONDE PARTIE. DE LA VERSIFICATION LATINE. — CHAPITRE IV. De la composition des vers. » pp. 295-331

Ainsi une fleur brillante, tranchée par le soc de la charrue, languit et meurt ; ainsi le pavot, épuisé de lassitude, courbe sa tête chargée de pluie. » Un écrivain moderne a peint, sous une belle comparaison, le pouvoir odieux de ces tyrans d’Egypte qui n’étaient grands que parce qu’ils vivaient dans une profonde solitude.

241. (1845) Les auteurs latins expliqués... Horace. Art poétique pp. -72

Les hommes vivaient dispersés dans les bois, quand un poëte sa cré, interprète des Dieux, Orphée, leur inspira l’horreur du sang et d’une affreuse nourriture. […] 95Moi, si je me mêlais 96de composer quelque chose, 97je ne voudrais pas plus 98moi être cet homme-là, 99que vivre avec un nez difforme, 100 étant remarquable d’ailleurs 101par des yeux noirs.

242. (1852) Précis de rhétorique

Ces quatre mondes sont : 1° le monde existant, où puisent le moraliste qui peint la société et l’écrivain qui retrace une scène de la nature ; 2° le monde historique, qui est le domaine de l’analyste ; 3° le monde idéal, où vivent les conteurs et les romanciers ; 4° le monde fabuleux, qui nous rappelle la mythologie. […] La métalepse est un trope par lequel on prend l’antécédent pour le conséquent : ex. : il a vécu pour il est mort ; ou bien le conséquent pour l’antécédent : ex. : nous le pleurons pour il est mort ; à la première hirondelle pour aux premiers jours du printemps.

243. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Notes pour l’intelligence des exemples cités dans ce premier volume. » pp. 365-408

Il vivait l’an 282 avant Jésus-Christ.

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