J'élèverai un temple de marbre.
C’est peu que le front ceint d’une mître étrangère, Ce levite à Baal prêté son ministère : Ce temple l’importune, et son impiété Voudrait anéantir le Dieu qu’il a quitté.
Parmi les ouvrages de critique littéraire, antérieurs au xixe siècle, on peut citer : les Sentiments de l’Académie sur le Cid (1637), jugement en forme provoqué par les Observations sur le Cid, de Scudéry ; les Réflexions sur la tragédie et la comédie, de Saint-Évremond (1613-1703) ; les Examens (1660), de Corneille, sur ses propres tragédies ; les Satires (1660-1705), de Boileau, ses Réflexions sur Longin (1693-1710), composées en réponse, aux fameux Parallèles, de Charles Perrault (1628-1703) et l’Art poétique ; les deux chapitres intitulés : Des ouvrages de l’esprit et de la chaire dans les Caractères (1688), de La Bruyère ; la Lettre à l’Académie (1714), de Fénelon, ses Dialogues sur l’éloquence et ses Lettres à La Motte sur Homère et les anciens ; le Discours sur le style, de Buffon ; le Temple du goût (1732), de Voltaire, le 32e chapitre de son Siècle de Louis XIV (1751) et son Commentaire sur Corneille (1764) ; les Réflexions critiques sur quelques poètes (1747), de Vauvenargues ; les Réflexions sur la poésie et l’art dramatique, de Louis Racine (1692-1763) ; enfin le Lycée, de La Harpe (1739-1803) et le Cours de littérature, de Marmontel. […] Plan. — I. — Curius ayant avisé Cicéron des projets de Catilina, le consul convoqua aussitôt les sénateurs dans le temple de Jupiter-Stator.
Ainsi il y a une faute dans ce vers de Racine : Phénix même en répond, qui l’a conduit exprès Dans un fort éloigné du temple et du palais.