Virgile ne pouvait mieux faire que de comparer le jeune guerrier soit à une fleur brillante dont la racine a été tranchée par le soc de la charrue, soit à un pavot qui laisse pencher vers la terre sa tête chargée de pluie. […] « Il se roule dans les bras de la mort, un sang virginal inonde ses beaux membres, sa tête défaillante se penche sur ses épaules. Ainsi une fleur brillante, tranchée par le soc de la charrue, languit et meurt ; ainsi le pavot, épuisé de lassitude, courbe sa tête chargée de pluie. » Un écrivain moderne a peint, sous une belle comparaison, le pouvoir odieux de ces tyrans d’Egypte qui n’étaient grands que parce qu’ils vivaient dans une profonde solitude.
J’ai peu lu ces auteurs ; mais tout n’irait que mieux, Quand de ces médisants l’engeance tout entière Irait, la tête en bas, rimer dans la rivière. » Voilà comme on vous traite : et le monde effrayé Vous regarde déjà comme un homme noyé. […] Aussitôt de longs clous il prend une poignée : Sur son épaule il charge une lourde cognée ; Et derrière son dos, qui tremble sous le poids, Il attache une scie en forme de carquois : Il sort au même instant, il se met à leur tête.
Mets. « Quelle fantaisie s’est-il boutée là dans la tête ! […] On appelait tortue une manœuvre par laquelle les soldats réunissaient leurs boucliers au-dessus de leurs têtes pour donner l’assaut.
. : enfoncer son chapeau dans sa tête, au lieu de enfoncer sa tête dans son chapeau. […] Le geste comprend les mouvements de la tête, des yeux, des bras, des mains et la position du corps. […] La tête, renversée un peu en arrière, marque fierté, arrogance, dédain ; baissée ou penchée négligemment, langueur, timidité ; enfoncée dans les épaules, terreur ; tenue droite avec aisance et simplicité, modestie. […] Ils se combinent alors avec ceux de la tête, des yeux, de la bouche, avec les inflexions de la voix, etc. […] Indiquez les effets produits par les mouvements de la tête. — 15.