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195. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XIX. des qualités accidentelles du style. — noblesse, richesse, énergie, sublime  » pp. 257-273

Condenser le sentiment ou la pensée est assurément un moyen de lui donner cette force et ce ressort ; mais il arrive souvent aussi qu’il reçoit la même efficacité d’un mouvement prolongé ou d’une suite de mouvements dépendant d’un principe unique d’action.

196. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Voltaire. (1694-1778.) » pp. 277-290

La Fontaine a fait rimer, conformément à ce principe que la coutume a maintenu jusqu’au commencement du dix-huitième siècle, émeute avec dispute (Fab.

197. (1811) Cours complet de rhétorique « Livre quatrième. De la disposition oratoire, ou de l’Ordre mécanique du discours. — Chapitre II. Application du chapitre précédent au discours de Cicéron pour Milon. »

Au lieu de morceler, suivant l’usage, différents discours, pour en extraire des exemples à l’appui des principes que nous venons d’établir, nous avons préféré de les réunir dans un chapitre particulier, et de les tirer surtout d’un seul et même discours, où chacun d’eux fût traité avec une égale supériorité.

198. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section III. De l’Art d’écrire pathétiquement. — Observations générales sur l’Art d’écrire les Lettres » pp. 339-364

Il faut surtout éviter les grandes fautes de langage : elles décèlent une profonde ignorance des principes de notre langue, et par-là même une éducation négligée, qui ne peut donner qu’une idée peu favorable de l’homme qui écrit.

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