Diderot est aussi inintelligible, dans sa définition de la naïveté : On est, dit-il, naïvement héros, naïvement scélérat, naïvement beau, naïvement dévot, naïvement orateur, naïvement philosophe ; sans naïveté point de beauté : on est un arbre, une plante, un animal naïvement.
Les causes des faiblesses et des misères humaines, que le philosophe ne peut découvrir par les seules lumières de sa raison, y sont exposées dans le plus grand jour.
Cet ouvrage est-il le rêve d’un utopiste et d’un poëte, ou le vœu d’un philosophe et d’un sage ?
Rois, reines, poètes, philosophes, hommes d’État, lui rendaient hommage.