A chaque blessure que recevait un lutteur, le peuple criait en battant des mains : Hoc habet, et lorsque la victime, étendue sur l’arène, et percée de coups, demandait quartier, son adversaire s’arrêtait, et regardait le peuple, qui souvent lui ordonnait d’achever, d’ôter la vie au malheureux vaincu.
C’est ainsi qu’on dira en parlant d’un roi coupable et malheureux : l’auguste misérable. […] On rendra la déclamation naturelle en se mettant à la place de celui qui parle, en gémissant, par exemple, avec un malheureux, en s’irritant avec un homme en colère. […] La faute ici est doublement condamnable, car l’enjambement de deux syllabes (ou d’un pied) est une chute malheureuse, L’oreille pourrait se reposer sur trois ou quatre syllabes, et pour peu que la pensée fût grande, il s’ensuivrait une césure supportable.
Est-ce un malheureux qui expose ses plaintes ? […] La faute ici est doublement condamnable, car l’enjambement de deux syllabes (ou d’un pied) est une chute malheureuse.
Dans ce temps malheureux par le crime infecté, Potier fut toujours juste et pourtant respecté.