. — Lettre de Voltaire à mademoiselle *** qui l’avait consulté sur les livres qu’elle devait lire.
Telles sont celles que nous avons citées pour exemples de stances de quatre vers ; telles sont encore, dans Jean-Baptiste Rousseau, les stances de la plupart des odes du livre Ier.
Lentulus leur avait de plus affirmé, sur la foi des livres sibyllins et des aruspices, qu’il était ce troisième Cornélius auquel la royauté dans Rome et le pouvoir absolu étaient fatalement destinés ; que Cinna et Sylla les avaient déjà possédés avant lui. […] Ceux-ci lui répondent en peu de mots et sans se troubler, lui rappelant et le nom de leur introducteur et le nombre de leurs visites ; ils finissent par lui demander s’il ne leur a pas parlé des livres sibyllins. […] Avant même votre préture, votre maison était pleine des plus belles statues ; vous en avez orné vos maisons de campagne, vous en avez mis en dépôt chez vos amis, vous en avez donné, et cependant vos livres ne font point foi que vous en ayez acheté aucune. […] il vous en coûtera la vie ; vous expirerez sous les verges, si l’on ne me livre cette statue. » Sopater retourne au sénat, les yeux baignés de pleurs ; il révèle la cupidité du préteur et ses menaces. […] Aussi, du temps de nos pères, dans ces jours de trouble et d’orage, lorsqu’après le châtiment de Tibérius Gracchus mille prodiges menaçaient l’État de grands périls, on alla consulter les livres des sibylles sous le consulat de P.
On trouve ce qui regarde les pensées dans nos livres sur la rhétorique, à qui cette matière appartient.