Oui, ces restes sans nom que, d’un bras impuissant, Le temps et les mortels poussent vers le néant, Plus que tous les soleils semés dans l’étendue, Fixeront du Très-Haut l’infatigable vue, Jusqu’au jour de colère, où sa tonnante voix Jugera ces brigands et vengera nos rois.
C’est le croire capable de juger suivant ses propres impressions, et non suivant la loi, qui n’en doit point recevoir, qui ne doit prononcer que sur les faits, et demeurer étrangère à tout le reste. […] On en jugera par les vers suivants : Mais sur l’homme assoupi | Morphée est descendu, — Sa paupière est fermée — et son corps étendu. — Qui remplira le vide | où le sommeil le plonge ?
Si vous m’avez, sous ces différents rapports, accordé quelque supériorité sur les autres, et si je dois à cette opinion flatteuse votre déférence à mes avis, pourquoi donc me faire un crime aujourd’hui d’une guerre que vous avez jugée indispensable ?
Il est aisé de juger que ce que je viens de dire des circonstances d’une action et des différents traits qui composent un caractère, doit s’appliquer à un tableau, à un édifice, à un monument présentés dans toute la beauté, dans toute la perfection imaginable.