/ 200
178. (1811) Cours complet de rhétorique « Notes. »

L’auteur n’y tourne guère que dans un cercle d’idées communes et cent fois rebattues, exprimées le plus souvent avec cette pureté froide qui repousse également la louange et la critique, parce que l’une serait sans fruit, et l’autre sans objet.

179. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section III. De l’Art d’écrire pathétiquement. — Chapitre I. Du Pathétique. » pp. 280-317

C’est encore Joad qui parle : Grand Dieu, si tu prévois qu’indigne de sa race, Il doive de David abandonner la trace ; Qu’il soit comme le fruit en naissant arraché, Ou qu’un souffle ennemi dans sa tige a séché.

180. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Chapitre » pp. 169-193

Au sujet des sentiments qui animent don Diègue, on consultera avec fruit, dans le Cours de littérature dramatique de M.

181. (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « PREMIÈRE PARTIE. DE L'ÉLÉGANCE LATINE. — CHAPITRE IV. Des Figures. » pp. 144-262

Ne comptez pas trop sur la beauté de votre teint ; car le troëne blanc tombe à terre, tandis qu’on recueille les fruits du noir vacciet. […] Cic. — Mites se dit des fruits mûrs. […] Maturus, mûr, se dit proprement des fruits, du blé.

/ 200