L’auteur n’y tourne guère que dans un cercle d’idées communes et cent fois rebattues, exprimées le plus souvent avec cette pureté froide qui repousse également la louange et la critique, parce que l’une serait sans fruit, et l’autre sans objet.
C’est encore Joad qui parle : Grand Dieu, si tu prévois qu’indigne de sa race, Il doive de David abandonner la trace ; Qu’il soit comme le fruit en naissant arraché, Ou qu’un souffle ennemi dans sa tige a séché.
Au sujet des sentiments qui animent don Diègue, on consultera avec fruit, dans le Cours de littérature dramatique de M.
Ne comptez pas trop sur la beauté de votre teint ; car le troëne blanc tombe à terre, tandis qu’on recueille les fruits du noir vacciet. […] Cic. — Mites se dit des fruits mûrs. […] Maturus, mûr, se dit proprement des fruits, du blé.