Lors même quelle parait se répéter, lorsque dans la même lettre elle dit adieu à sa fille jusqu’à cinq fois, c’est que cet adieu réitéré est dans son cœur ; c’est que l’idée de sa fille absente la domine à tel point, qu’elle ne peut ni parler d’autre chose, ni quitter la plume. […] Le sang d’une fille, un peu de sang ! […] Sur mon tombeau ma fille devrait faire Ce que je fais maintenant sur le sien. Cela veut dire qu’il pleure sur le tombeau de sa fille, tandis que sa fille devrait pleurer sur le sien. […] Simonide se lit longtemps prier ; mais on lui offrit une somme si considérable, qu’il finit par céder. « Salut, s’écria-t-il, filles des cavales aux pieds ailés !
. — Qui ou que relatif s’accorde avec son antécédent en genre, en nombre et en personne : ainsi, dans cet exemple : l’enfant qui joue, qui est du singulier et de la troisième personne, parce que l’enfant est du singulier et de la troisième personne ; il est du masculin, si c’est un petit garçon qui joue ; il est du féminin, si c’est une petite fille.
Fille du duc de Savoie, elle épousa le petit-fils de Louis XIV.
Écrivant à M. de Vitrolles, qui avait perdu sa fille, Lamennais disait : « Il n’y a qu’un voile entre elle et nous.