« Restait cette redoutable infanterie de l’armée d’Espagne, dont les gros bataillons serrés, semblables à autant de tours, mais à des tours qui sauraient réparer leurs brèches, demeuraient inébranlables au milieu de tout le reste en déroute, et lançaient des feux de toutes paris.
Ne perdez point de vue, au fort de la tempête, Ce panache éclatant qui flotte sur ma tête : Vous le verrez toujours au chemin de l’honneur. » A ces mots, que ce roi prononçait en vainqueur, Il voit d’un feu nouveau ses troupes enflammées Et marche en invoquant le grand Dieu des armées1.
155« En la sixième année, le cinquième jour du sixième mois, comme j’étais assis dans ma maison, et que les anciens de Juda y étaient rassemblés avec moi, la main du Seigneur tomba tout à coup sur moi… Quelqu’un me parut comme un feu ardent : depuis les reins jusqu’au bas, ce n’était qu’une flamme ; et depuis les reins jusqu’en haut, c’était un airain mêlé d’or, étincelant de lumière.
Seigneur, fais de ta grâce à notre âme abattue Goûter les fruits heureux, Et que puissent nos pleurs de la chair corrompue Eteindre tous les feux !