Jourdain. — Taisez-vous, ma femme, je vous vois venir. […] Jourdain. — Peste soit de la femme ! […] Cette femme, en voyant tant d’argent ensemble qui lui appartenait, fut si saisie de joie qu’elle en mourut subitement. […] Sa petite femme, brune et assez grossièrement agréable, était cahotée à côté de lui. […] — Oui, tout est à moi et à ma femme.
La pauvre femme pleurait, l’ayant perdue, et Fénelon essayait de la consoler : « Je vous en achèterai une autre. — Ah ! monsieur l’abbé, disait la femme, qui ne connaissait pas son archevêque, ce ne sera plus ma pauvre vache. — Eh bien, cherchons-là ensemble. » Il la retrouvent. « Vous êtes un saint, monsieur l’abbé : vous avez retrouvé ma vache ! […] Les femmes et les enfants des soldats étaient venus chercher un refuge dans les chambres des ponts supérieurs, et là ils priaient et lisaient l’Écriture sainte avec les femmes des officiers et des passagers.
Demande-lui ce qu’il lui semble de l’École des Femmes, tu verras qu’il te dira qu’elle ne lui plaît pas. […] (Critique de l’École des Femmes.) […] (Critique de l’Ecole des Femmes, sc. […] Cette comédie, l’École des femmes.. […] L’Ecole des femmes.
Les femmes dans la comédie des Femmes savantes. […] C’est une femme, c’est une vaincue. […] Le comique du Malade imaginaire n’est pas le même que celui des Femmes savantes. […] Éliante, enfin, parle comme doit le faire une femme bien élevée, aimable et sincère. […] Les Femmes savantes et Tartufe, pourraient seuls, peut-être, lui être comparés.