un homme faible et misérable, incapable de rien faire sans lui, tandis qu’il n’a pas besoin de moi pour accomplir ses desseins.
Il le plaint pour avoir le droit de se louer lui-même, aux dépens du faible.
C'est pourquoi les absents sont présents, les pauvres sont riches, les faibles sont forts, et, ce qui est plus difficile à dire, les morts reviennent à la vie. […] Languere, languir, être faible.
Rien de si émouvant que les circonstances de leur supplice : ces faibles corps étouffés sous d’horribles étreintes, ces cruelles morsures, ces chairs délicates arrachées par morceaux avec une impitoyable fureur ; choses horribles, exprimées si énergiquement par ces mots : et miseros morsu depascitur arlus.