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2. (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre II. Du genre didactique. » pp. 161-205

Qu’est-ce que la fable ou apologue ? […] Combien distingue-t-on de sortes de fables ? […] En effet, dit Lamotte, la vérité doit naître de la fable. […] Quel doit être le style de la fable ? […] Quel doit être le dialogue dans la fable ?

3. (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Nisard. Né en 1806. » pp. 585-597

La fable, du moins, aurait dû échapper aux théories. […] Il se fit d’abord connaître par des fables devenues classiques. […] Je veux cependant faire quelques observations sur la censure que Rousseau fait de la morale des fables. […] — Mais prenez garde, dit Rousseau, en lisant votre fable je suis tenté d’apprendre à être renard ?  […] Or, quelle méthode y peut contribuer plus utilement que les fables ?

4. (1875) Poétique

On donna aux fables plus de grandeur, et au style plus d’élévation. […] Or l’imitation de l’action est la fable ; car j’appelle fable l’arrangement des parties dont est composée une action poétique. […] Des fables épisodiques dans la tragédie. […] J’en conclus qu’on doit donner ce mérite aux fables de la poésie. […] Différence des fables.

5. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Notes pour l’intelligence des exemples cités dans ce second volume. »

Il avait, selon la fable, plusieurs têtes ; et aussitôt qu’on lui en avait coupé une, il en renaissait plusieurs autres. […] On appelle ainsi quelquefois Vénus, parce qu’elle naquit, suivant la fable, de l’écume de la mer. […] Elle fut enlevée, suivant la fable, par le vent Borée, qui n’avait pu l’obtenir de son père pour l’épouser. […] Elle était, selon la fable, consacrée à Apollon et aux neuf muses, qui y faisaient leur séjour ordinaire. […] Ce qui a donné lieu à cette fable, c’est que ces deux étoiles paraissent rarement ensemble.

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