« Vous trouverez en mon Philippe de Commines, dit Montaigne, le langage doux et agréable d’une naïve simplicité, une narration pure, et en laquelle la bonne foi de l’auteur reluit évidemment ; exempte de vanité, parlant de soi, et d’affection et d’envie, parlant d’autrui ».
Les oliviers aiment une température douce. — 20. […] Il est doux et glorieux de mourir pour sa patrie. — 11. […] Il est doux d’assister au triomphe d’un ami. — 9. […] Rien de plus doux que son climat, de plus fertile que son sol ; il voit éclore deux fois les fleurs du printemps.
De là, doux classes bien distinctes dans le genre épique : la grande épopée ou poème épique proprement dit, et les épopées secondaires, parmi lesquelles on distingue le poème héroïque, le poème narratif, le poème héroï-comique, le poème badin et le poème burlesque.
Les poètes, en personnifiant les vents, ont donné ce nom aux vents doux et agréables qui soufflent au printemps.