Il descendait de Robert Blair, chapelain de Charles Ier et l’un des ministres les plus zélés et les plus distingués de l’époque où il vivait. […] Inclinavit cœlos et descendit ; et caligo sub pedibus ejus. […] « Cependant les habitants de l’Olympe descendent au milieu des combattants : la fureur des discordes se réveille. […] Cela montre combien il est souvent difficile de descendre avec grâce, sans paraître tomber. […] Je commencerai par le choix des mots, sur lequel il y a peu de choses à dire, à moins de descendre dans de frivoles et fastidieux détails sur la propriété de chacune des lettres ou des sons simples dont se compose une langue.
Le bon jeune homme descend dans la carrière, prend dans ses bras le pauvre animal, qui s’était cassé la patte, l’emporte, arrive au château, laisse le petit chien dans l’antichambre du maître et entre dans son cabinet. […] Le sylphe descend sur un champ de bataille. […] Enfin le sylphe descend au milieu d’affreuses ruines dans un bois épais et sauvage. […] Hedwige va partir ; mais au moment où elle veut descendre l’escalier du palais, ses gardes tournent leurs haches vers elle ; intrépide, elle saisit la hache de celui qui l’empêchait de passer, et la jette à terre ; les gardes, saisis de respect, lui ouvrent le passage.
Enfin, Voltaire invoque la Vérité : Descends du haut des cieux, auguste vérité, Répands sur mes écrits ta force et ta clarté ; Que l’oreille des rois s’accoutume à t’entendre.
Nous terminerons par le célèbre passage du psaume 17, si souvent imité par nos poètes : Inclinavit cœlos et descendit, et caligo sub pedibus ejus.