Enée échappa à la ruine de sa patrie, après avoir vaillamment combattu pour la défendre.
LOUIS XI Ou vous taire, ou me défendre en tout. […] Le valet se défend convenablement, et semble contenu par le respect. […] Resté en arrière, il ne pensait qu’à jouir de ce délicieux ombrage, qui le défendait si agréablement des ardeurs du soleil, quand un animal féroce, de ceux qui habitent les forêts, venant à s’élancer sur lui, en fit sa proie. […] L’homme est fin, l’homme est sage, il nous défend l’étude ! […] Si c’est ma tête que vous cherchez, je vous défends de la part de Dieu de toucher à aucun des miens, moine, clerc ou laïque, grand ou petit.
Entrez dans leurs palais ; frappez, mettez en cendre Tout ce qui prétendra l’honneur de se défendre. […] As-tu donc oublié ces esclaves nombreux qui l’environnent, tous ces regards fixés sur lui seul ; ton audace aveugle désarmera-t-elle tout à coup tant de bras levés pour le défendre ! […] « Mon épouse et mon fils ne me sont pas plus chers que mon père et la république ; mais sa propre grandeur soutiendra mon père, et les autres armées défendront la république.
Weil a fort bien défendu, dans son mémoire Sur l’effet de la Tragédie selon Aristote (Bâle, 1848), s’accorde d’ailleurs et avec l’analogie grammaticale dans les verbes tels que ἐξαλλάττω, ἐξαϰολουθέω, ἐϰπίνω, έϰπίμπλημι, etc., et avec l’ensemble de la théorie aristotélique, telle que nous l’avons exposée dans notre Essai sur l’Histoire de la Critique, p. 180 et suiv.