M. le Duc de N***, dans ses Réflexions critiques sur le génie d’Horace, de Despréaux et de Rousseau, a donné la traduction de quelques strophes d’une Ode, dans laquelle le Poète latin chante les douceurs de la vie champêtre, et le bonheur de celui qui sillonnant le champ de ses pères, vit, comme eux, sans soins, sans affaires, sans créanciers.
Cette critique est absurde.
L’Orphelin de la Chine, par Voltaire, 1755, qui prêtait trop à la critique.
En adoptant l’ordre logique des sujets, de préférence à l’ordre chronologique des auteurs, il a été possible de rapprocher un poète d’un orateur, un ancien d’un moderne ; rapprochement fécond qui contient plus d’une leçon de goût et provoque la curiosité critique du lecteur. […] Le critique même le plus ingénieux s’expose au piquant reproche de Molière : Il prend soin d’y servir des mets fort délicats ; Oui, mais je voudrais bien qu’il ne s’y servît pas. […] Dans la nouvelle école, je pourrais signaler des chefs-d’œuvre de vigoureuse et saine originalité… Cependant toute une école de critiques, sur les pas de votre illustre secrétaire perpétuel, s’est élevée de la discussion des mots à l’intelligence des monuments littéraires de tous les âges.