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211. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section I. De l’Art d’écrire correctement. — Chapitre I. De la nature des mots. » pp. 11-86

L’imparfait ou présent relatif marque ou le commencement, le cours d’une action, sans en désigner précisément la fin : = je me promenais ce matin au champ de Mars ; ou une action qui se faisait dans le temps qu’une autre s’est faite : = il pleuvait, lorsque je vous ai vu passer.

212. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre II. Des différentes espèces de Discours Oratoires. »

« Mes compagnons, leur dit-il, si vous courez aujourd’hui ma fortune, je cours aussi la vôtre.

213. (1883) Poétique et Rhétorique (trad. Ruelle)

Il ne faut pas, par contre, que l’homme très pervers tombe du bonheur dans le malheur, car une telle situation donnerait cours aux sentiments d’humanité, mais non pas à la pitié, ni à la terreur. […] Pour les autres poètes, les parties chantées dans le cours de la pièce n’appartiennent pas plus à la fable qui en est le sujet qu’à toute autre tragédie.

214. (1853) Exercices de composition et de style ou sujets de descriptions, de narrations de dialogues et de discours

Un jour, dans le cours de ses visites pastorales, Charles voulut absolument se rendre dans un pauvre hameau, perdu au milieu des montagnes. […] Pendant la nuit qui précède la bataille, Eudes, en proie à l’agitation la plus cruelle, erre sur les collines qui bordent le cours de l’Indre, et de là fixe ses regards sur le camp français éclairé de mille feux.

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