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227. (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Première partie. De la poésie en général — Chapitre III. De la forme extérieure de la poésie » pp. 22-70

C’est ainsi que Bossuet a dit, dans une oraison funèbre : Glaive du Seigneur, quel coup venez-vous de frapper ?

228. (1875) Poétique

Quel que soit le sujet qu’on traite, il faut commencer par le crayonner en général : par exemple, s’il s’agit d’Iphigénie, vous direz : « Une jeune princesse était au moment d’être sacrifiée ; tout à coup elle est enlevée sous le couteau des prêtres, et se trouve transportée dans une contrée lointaine, où elle devient elle-même prêtresse.

229. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre X. Petits poèmes. »

Après quelques instants d’un horrible silence, Tout à coup le feu brille, il s’irrite, il s’élance… Le cœur de la guerrière alors s’est ranimé ; À travers les vapeurs d’une fumée ardente,         Jeanne, encor menaçante, Montre aux Anglais son bras à demi consumé.

230. (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « PREMIÈRE PARTIE. DE L'ÉLÉGANCE LATINE. — CHAPITRE IV. Des Figures. » pp. 144-262

. — Plangor et planctus (de plangere, frapper), lamentations accompagnées de coups sur la poitrine ou ailleurs. — Gemitus, cris qui partent d’un cœur oppressé par la douleur. […] Verber, inusité au nomb. sing., fouet ; il se prend pour les coups mêmes.

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