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220. (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Deuxième partie. Rhétorique. — Chapitre II. — Division de la rhétorique : Invention, Disposition, Élocution »

» Et puis, à votre fête, il compare en son âme Son foyer où jamais ne rayonne une flamme, Ses enfants affamés, et leur mère en lambeau, Et sur un peu de paille, étendue et muette, L’aïeule que l’hiver, hélas !

221. (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « Étude littéraire et philologique sur la langue du XVIe siècle » pp. -

Pour en juger, comparez telle page de Montaigne à telle autre de Pascal se rencontrant sur le même sujet ; vous verrez que la différence ne tient pas seulement aux esprits, mais à la langue, qui n’a plus le même âge, et dont la virilité commence.

222. (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre II. Du genre didactique. » pp. 161-205

Les sources du riant, dans la fable, sont : 1° De transporter aux animaux des dénominations et des qualités qui ne se donnent qu’aux hommes : Certain renard gascon ; une Hélène au beau plumage ; Sa Majesté fourrée ; un citoyen du Mans, chapon de son métier ; Monsieur du Corbeau ; 2° De comparer de petites choses à ce qu’il y a de plus grand ; de mesurer les grands intérêts par les petits : Deux coqs vivaient eu paix : une poule survint,         Et voilà la guerre allumée.

223. (1883) Poétique et Rhétorique (trad. Ruelle)

Ainsi, chez les peintres, c’est ce qui arrive à Zeuxis comparé à Polygnote.

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