Traité du ciel.
Fénelon décrit de la manière suivante le commencement d’un beau jour : Cependant l’aurore vint ouvrir au soleil les portes du ciel et nous annonça un beau jour : l’Orient était tout en feu, et les étoiles, qui avaient été longtemps cachées, reparurent à l’arrivée de Phébus.
Je vois que vous voulez aller au ciel, et j’espère que nous aurons tous deux ce bonheur.
Ainsi Racine a fait une faute, en disant dans sa tragédie de Mithridate ; qui sait si ce roi N’accuse point le ciel qui le laisse outrager, Et des indignes fils qui n’osent le venger.