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253. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXIII. des figures. — tropes d’invention et tropes d’usage  » pp. 323-338

Traité de la manière d’apprendre les langues.

254. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre X. Petits poèmes. »

Adieu, mais là-dessus,         Apprends à ne te plaindre plus. » Florian, né en 1755 dans les basses Cévennes, est certainement le second de nos fabulistes. […] Réaumur, dont la main si savante et si sûre A percé tant de fois la nuit de la nature, M’apprendra-t-il jamais par quels subtils ressorts L’éternel artisan fait végéter les corps ?

255. (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre X. du commencement  » pp. 131-145

Aussi Antoine nous apprend, dans le de Oratore, que lorsqu’il compose un discours, la première partie est toujours la dernière qui l’occupe.

256. (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Boileau, (1636-1711.) » pp. 212-225

C’est ainsi que Lucile, appuyé de Lélie, Fit justice en son temps des Cotins d’Italie, Et qu’Horace, jetant le sel à pleines mains, Se jouait aux dépens des Pelletiers romains4 C’est elle qui, m’ouvrant le chemin qu’il faut suivre, M’inspira, dès quinze ans, la haine d’un sot livre, Et, sur ce mont fameux où j’osai la chercher, Fortifia mes pas et m’apprit à marcher.

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