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20. (1863) Précis de rhétorique : suivi des règles auxquelles sont assujettis les différents ouvrages de littérature pp. 1-100

(Racine.) […] (Racine.) […] (Racine.) […] (Racine.) […] (Racine.)

21. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section III. De l’Art d’écrire pathétiquement. — Chapitre I. Du Pathétique. » pp. 280-317

Tel est cet endroit du Poème de la Religion par Racine le fils : La voix de l’univers à ce Dieu me rappelle. […] » Enfin à des êtres insensibles : tels sont ces beaux vers de Racine le fils, dans son Poème sur la Religion. […] C’est ce qu’a fait Racine dans cet endroit de sa tragédie d’Athalie, où Joad, à la vue de Mathan, parle ainsi à Josabet : Où suis-je ? […] Racine nous fournit dans sa Tragédie d’Esther, un exemple bien propre à faire saisir la différence qu’il y a entre le style sublime, et le sublime. […] Cependant pour en donner une idée encore plus claire et plus juste, je vais rapporter la traduction littérale du texte sacré qui a fourni à Racine la matière des beaux vers que j’ai cités.

22. (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre III. — Ornements du Style, qui consistent dans les Mots ou Figures »

Racine, Andromaque, scène dernière. […] Racine, Esther, acte I, sc.  […] Racine, Athalie, acte II, sc.  […] Racine. […] Racine, Athalie, acte V, sc. 

23. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section II. De l’Art d’écrire agréablement. — Chapitre I. Du style. » pp. 181-236

Voyez ces beaux vers de Racine, dans son Idylle sur la paix. […] Voici un sentiment très délicat, que Racine, dans sa tragédie de Bérénice, donne à Titus, empereur de Rome, parlant de cette reine de Palestine, qu’il devait épouser. […] Voici comme Racine exprime ces mêmes pensées et ces mêmes sentiments. […] Osons dire en effet que ces mots, me vois-je condamnée, au lieu de m’avez-vous condamnée, n’auraient pas rendu le vers de Racine moins poétique. […] Je vais donc citer encore Racine, toujours admiré, mais toujours bien apprécié, quand au style, par l’abbé d’Olivet.

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